Argh, j'ai pas le temps...alors pourquoi je suis ici?
Sacrée dépendance à la con.
J'ai l'impression que si je n'écris pas pendant plus d'une semaine, c'est mal.
Hou, pas bien.
Bref demain j'ai trois partiels. Et puis huit autres les quatres jours qui suivent. Alors non je ne suis pas prête. Il y a des matières que je n'ai pas encore ouvertes, c'est pour dire. Pas ma faute si le par coeur, j'aime pas trop. Ou j'aime trooop pas.
Et puis ça m'empêche de voir ceux que j'aime. Ceux qui me manquent. Réduits au stade du "allo? ça va cool? Bon je peux pas trop traîner j'ai pu de forfait c'est la fin du mois, allez, à demain pour mon "ça va" journalier!". Et merde.
Ca sert à rien.
A la place je fais des rêves bizarres. La dernière fois Chimène Badi me racontait dans un bateau qu'elle avait trouvé l'homme qui l'acceptait telle qu'elle était. Tant mieux pour elle, hein. Mais bon, me tenir la grappe trois quart d'heure pour ça.....Puis Guillaume Canet, habillé en serveur, arrêtait pas de me sortir des vannes, c'était au concours de celui qui se cassait le plus vite et le plus sec. Marrant. Charmant, même.
Et puis cette nuit. Ou j'avais changé de plateforme pour mon blog. J'écrivais des histoires d'amour à suspense, en plusieurs parties. J'avais beaucoup de succès et pleins de commentaires de gens intéressants. C'est beau les rêves.
Et puis je faisais du pseudo cinéma. Réalisatrice, scénariste, productrice. Je touchais un peu à tout sans vraiment rien faire. Je voulais mettre un gros et moche en tête d'affiche, dans le rôle du sex symbol. J'avais trop la classe. Et souvent, cette même bande annonce en tête. Des gens sur un radeau, choisis grâce à un ticket gagnant pris genre sur des capsules de canettes de Coca. Ils voguaient sur la mer, à la recherche de...je sais pas. Un soleil torride, immense, qui prenait la moitié du ciel azuré. Des gens qui lèvent les yeux vers celui-ci, et tendent leurs mains, pour récolter les énormes pièces en or qui tombaient du firmament. Une pluie d'or.
Alors bon. Il y aurait beaucoup d'interprêtations, de signifiactions des dits songes.
Vu qu'en ce moment, je rêve tous les soirs de la mer, et notamment durant ma petite sieste de pièces qui se déversent des cieux, la vision négative de la chose aurait pour slogan : "tu couleras tes examens à cause de ta cupidité, salope."
Ou peut-être tout simplement qu'il faut y voir un message, le plus clair du monde.
"Lève ta tête, regarde vers le haut. Le véritable or vient du ciel."
Le véritable or vient du ciel.
Commentaires :
Re:
Si, énormément. :)
Perdre ses dents, je crois que ce n'est pas bon signe, il faudra que je cherche dans mon livre d'interpretation des rêves. Des colibris qui poussent dans les mains, ça s'est bizarre. Une fois j'ai rêvé que j'avais un trou dans le crâne et que...c'est raconté là d'ailleurs.
Ouais, chais pas pourquoi, je rêve de plein de gens connu dont je n'ai rien à battre, même que la dernière fois j'ai rêvé que j'étais en partiel du module "lolita", j'avais des questions sur la jeunesse d'Alizée et tout!
L'or du concret, des petites choses qui se trouvent autour de nous, la simplicité. Aussi. Dans un esprit immatériel, il n'y a pas de mal à se tourner vers la terre, au contraire même.
Allez, bisou!
Feu
Sauf que dans les miens, il y a moins de célébrités ;)
Tu sais, pour l'or, il vient peut-être du ciel. Cette force étrange et si belle.
Mais je crois aussi qu'il vient de la terre. De nos vies. De ce qui est là, juste là, pas forcément besoin de tendre la tête vers le haut pour que. Aussi un peu du concret, tu ne crois pas? Hum, je ne suis pas sûre d'être très claire...
Bizzz Dinounette! (à mon tour les surnoms débiles!)
(au fait, merci pour ton pavé, j'ai adoré le lire, mais j'y ai toujours pas répondu... Tu m'en veux pas, j'espère? :))