Ecrit le 25.07.06 à 01h05
Après un certain e-mail (click !)

Et merde t’es pas là. Et merde tu le fais exprès.
Et j’en ai marre.

Ca y est, je te jette, dehors. Je n’accepte plus que tu harcèles mon esprit de ton absence. M’en fous de toi, m’en fous. J’arriverai à m’en foutre, t’inquiète. Ca doit pas être si difficile que ça en a l’air.
Marre de faire des efforts toute seule de mon côté. Plus qu’assez d’être prise pour la conne de service. Je ne suis pas cela. JE NE SUIS PAS CELA !
Je ne sers pas à ça. Et si tu l’as pas compris tout seul, c’est que tu ne vaux pas mieux que les autres.

Il va falloir que tu en fasses, un bout de chemin pour tout rattraper. Parce que là, tu as sacrément baissé dans mon estime. Et tu sais pourquoi ?
Parce que tu n’as rien fait.

C’est toujours de la même manière qu’on me déçoit le plus. Et après, crois moi, c’est dur de remonter à la surface. Je deviens froide, très froide. Tu ne m’as encore jamais vue sous ce jour, mais tu pourras constater que je peux passer très vite à autre chose et devenir stoïque. Immobile comme de la pierre. Fermée.
Parce que tu croyais peut-être, comme tous apparemment, qu’une fille cool et gentille, ça souffrait moins. Et bien je vais te montrer qu’avant tout, je suis une fille. Chiante et cruelle dans sa nature. Tu m’as fait trop mal, c’est tout ce que tu mérites.

Je ne me laisserai plus faire par l’amour, c’est fini ça, Maro, Ex, Rooky et le toutim. Pour me prendre en main, j’ai la droite et la gauche. Comme pour le courage, les deux sont nécessaires. Je ne serai pas avare sur les moyens, je mettrai tout de mon côté. Pour oublier.

Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu m’appelles pile quand je pose ces mots sur mon clavier, et que tu t’excuses, trop tard peut-être, de ne pas m’avoir prévenu avant ? Trop tard…..trop tard….trop tard. Je peux plus. J’en peux plus. Et j’ai déjà envie de te pardonner en même temps que j’ai envie de pleurer. Parce que je t’aime avant tout.

Tu es un ami, tu n’es qu’un ami, tu es juste un ami. Tu es mon ami. Am…
...ami, rien de plus. Rien de plus à tes yeux. Aux miens bientôt.

Pourquoi tu n’es pas venu ? J’avais juste envie de te voir, bordel. Ton studio, tout ça…c’était un prétexte idéal à ce que tu passes par chez moi…pourquoi tu n’as pas tenu ta promesse ellipsée ? Pourquoi ça n’a pas autant d’importance pour toi ? Je t’attendais si fort.
Et pourquoi est-ce que tu m’appelles, et me demande si ça ne va pas ? Et si on peut se voir sur MSN demain….comme si ça pouvait remplacer ton visage. Tu sais très bien que ça me fait mal, je te l’ai assez écrit comme ça. Alors pourquoi ces actes de culpabilité ? Tu agis de ton plein gré, non ?
Alors arrête.

Ne pas te comprendre commence à m’agacer.