Ecrit le 20.04.07 à 21h15
La situation d’avant étant celle-ci et celle-là.
Qu’est-ce qu’un chemin de vie peut changer en seulement trois jours…
Ca faisait quoi, 6 mois que je n’avais plus traqué son visage. Blond.
« T’es jamais en manque d’inspi toi, hein ! Je dis après étroits heurts ça te va ? »
J’ai eu honte de mon temps à la détente. Forcément s’il me file un rendez-vous codé par SMS, j’ai juste l’impression qu’il écrit mal. (non, c’est pas une excuse ?)
[Inachevé ici…]
C’est incroyable la synchronisation. Blond accepte enfin un de mes rendez-vous, As me quitte le soir même. Pour des raisons incongrues et encore ambiguës jusqu’à lors.
Je ne l’ai raconté nulle part. Juste ce début d’article là, ces 5 pauvres lignes. Finalement, peut-être que les choses difficiles, je ne les écris pas. Mais j’ai pleuré, tu sais. J’ai rampé, je me suis mise à genoux pour lui, en lui suppliant s’il te plait, s’il te plait, ne gâche pas cette jolie chose qu’on était en train de faire naître. Il n’y avait rien, aucun nuage à l’horizon, pourquoi ?
On a du me porter sur le dos sur le chemin du retour. J’ai pleuré, encore, encore.
Mais le lendemain, j’ai compris que je ne pouvais pas en faire plus.
J’avais tout essayé (je ne m’attarderai pas sur les détails). Il restait impassible. Alors j’ai voulu accepter la sentence le plus rapidement possible, et profiter de cet état pour rebondir.
Pour oublier.
Pour réapprendre à aimer dans les plus brefs délais.