Y-a-t-il un sens caché derrière tout ça?
--> Une nuit de dédales
Ecrit le 13.08.08 à 15h15
Ça a commencé par une espèce de jeu de rôle vivant. Je ne sais pas pourquoi, j'avais décidé d'être un humain barbare, le genre de truc qui ne m'intéresse pas d'ordinaire. Je cherchais indéfiniment le petit papier où les instructions m'avaient été données, parce que j'avais un rôle spécial à jouer dans la quête. Avant de finir mon rêve, j'ai vu mon personnage apparaître sur un cheval, il était âgé et sage et représentait le messager, celui qui allait donner du sens à l'histoire.
Mon réveil a sonné une nouvelle fois, je me suis repliée sur moi même et ai entamé un autre songe.
J'étais entrée dans un bâtiment à étages, une fête se préparait. En bas, sur les escaliers, il y avait du courrier pour moi. Finalement, je ne savais pas si c'était ma maison ou celle d'un autre, ça a perturbé mes yeux quelques secondes, puis, comme j'étais avec du monde, je les ai suivis jusqu'à la porte de l'appartement. A l'intérieur, ça s'agite, je m'assois sur le canapé, on est censé attendre encore quelques personnes. On sonne, j'entends les gens se dire bonjour entre eux, quelqu'un s'avance vers moi, c'est Eden. Il s'esclaffe, il a le droit, ça fait au moins deux mois que j'ai pas de ses nouvelles, il vient pour me faire la bise mais me dit qu'il ne sait pas vraiment se positionner par rapport à ça. A quoi? Il m'embrasse sous le nez, puis sur le menton. Directement après, il agrippe ma bouche avec ses lèvres, scotchées contre les miennes. Je ne sais absolument pas comment réagir alors je reste comme ça, et ça dure, jusqu'à ce que je n'arrive plus à respirer. Je le pousse pour m'éloigner, il me retient avec ses lèvres, je lutte de plus en plus fort et lorsque je parviens enfin à me décrocher de lui, il me sort sarcastique quelque chose comme "bah alors, je croyais que tu savais retenir ton souffle un peu plus longtemps!". Peut-être, mais il m'a désamorcée. Il revient comme si de rien n'était et m'embrasse sans rien m'expliquer, alors c'est normal, d'exploser de l'intérieur de toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites mais qui ne m'ont pas empêché de ressentir. Pour autant. Je suis troublée, les gens redescendent les escaliers, en bas c'est une pièce immense, ça ressemble à une salle de spectacle totalement démontée. Débute les festivités, on se parle en groupe chacun à tour de rôle, c'est chiant comme une soirée réelle. C'est un bâtiment qui s'étend à perte de vue, il y a des chambres pour chacun dans de grands couloirs mal éclairés. Je cherche Eden comme toute fille amourachée qui se respecte, mais l'espace est très vaste. Dans la cuisine-salle à manger, il y a une deuxième porte, je crois capter des bruits bizarres. J'ouvre, je me retrouve sur la scène avec une chorale en pleine répétition. On me dit "C'est toi la remplaçante? Il nous manque une soprane.", je fais "Non, c'est pas moi, j'étais pas au courant, j'étais à la fête en train de..." - "Parce qu'à l'instant, y'a Marie-Hélène qui est allée en débusquer une." - "Bah c'est pas moi, je l'ai pas croisée, mais si jamais je peux essayer de chercher une remplaçante moi aussi..." - "Tu seras gentille mais fait vite, le concert va bientôt commencer!". Je retourne alors dans la cuisine-salle à manger, et malheur, croyant me repérer en toutes circonstances, je passe par un couloir légèrement différent qu'à l'aller. Je marche quelques instants, j'entends de la musique, un petit orchestre est en train de s'accorder. Un des musiciens, en m'apercevant, désabusé (comme si ça lui arrivait régulièrement) me lance en soupirant sans que je ne lui aie rien demandé "c'est l'étage du dessus". Soit. Je m'exécute. Monte les escaliers. Marche encore. Les couloirs sont de plus en plus sombres. Un peu de lumière, je m'y engouffre. Je suis à l'extérieur, dans des pâtés de maisons assez bourgeois. Non, non, non, je retourne à l'intérieur, réfléchis. Ça suffit, Dine, t'as pas pu aller si loin. Reviens sur tes pas, redescends, croise un gardien de la sécurité. - "Excusez-moi, les dortoirs, s'il vous plait?" - "Lesquels, il y en a tellement." - "Je suis avec le groupe C, à côté, il y a une grande salle de spectacle." - "Ça doit être tout en bas." - "Vous ne voulez pas m'accompagner?". Et rebelote. Redescendre les escaliers, traverser les couloirs, tourner à certains endroits, je me rappellerai jamais de tout. Le gardien avance, "ce doit être là", mais moi je ne vois rien. C'est lugubre, désaffecté. On marche sur des platebandes avec des rambardes et en dessous, c'est le grand trou noir, le vide incommensurable. Ça fout la chair de poule. Il n'y a personne, et certaines fois, des murs devant nous. C'est criblé de toiles d'araignées. Le vent pousse des cris dans les gouffres sous nos pieds, ils nous attirent. Le gardien, qui se chie dans son froc, me dit "eh bien, je vais vous laisser". Il part beaucoup plus vite qu'il n'est arrivé. J'ai peur moi aussi. Surtout toute seule. Je sens que c'est mauvais. Que de toute façon, ce n'est pas l'endroit que je cherche. Je remonte vite les étages avant qu'il ne m'en arrive une, retombe sur l'orchestre, une ribambelle de mômes en colonie de vacances me passe au travers en jacassant, l'instrumentiste exténué leur dit "C'est au dessus!". Je les suis, ils prennent l'ascenseur. Je rencontre une fille de mon âge, souriante. Lui raconte la fête qui m'attend mais que je ne parviens à rejoindre, elle est d'accord pour me suivre et en profiter pour y participer. Elle est blonde, a les cheveux lisses, un peu plus en chair que moi. Toutes les deux, on sillonne les étages positifs, mais rien n'y fait, à chacun d'eux, on finit par se retrouver dehors, dans un lieu différent. Chaque étage a un dehors, un pied à terre ferme. C'est résolument impossible, pense-t-on. On marche, on longe le bâtiment jusqu'à faire face à l'entrée principale. Chouette. D'immenses escalators sont érigés devant nous, évidemment, je les prends à l'envers et galère pour récupérer la fin, du tapis reculant au sol normal. Une fois réussi, je réalise que plein de gens m'ont suivie et se sont tous autant trompés de sens et gamellés que moi. Les moutons. Je me dirige vers les ascenseurs principaux. Rentre avec ma copine blonde. En fait, je me demande si je ne l'ai pas rencontrée à ce moment précis. A moins que le temps se soit remonté. Je regarde les chiffres des étages défiler, il y a six niveaux inférieurs et cinq ou six supérieurs. Et là je me rends compte. C'est l'étage cinq. Autant je l'ai cherché au niveau supérieur, autant je suis allée au dernier niveau inférieur, mais pas à l'avant dernier, le -5. J'appuie sur le bouton, on s'enfonce. Couloirs à nouveau. On marche, lumière du jour, et zut, on est encore dehors, sur une grande place. Deux bâtiments sont devant moi. Du batiment de droite, je vois à travers la baie vitrée la chorale qui fait son concert. Je me demande s'ils ont finalement pu trouver leur remplaçante. Je regarde le bâtiment de gauche, il n'a pas l'air relié à celui de droite. Et pourtant, je m'y engage. La fille avec moi est consternée "mais pourquoi tu fais ça!" et moi, comme ayant réfléchi pendant des heures et trouvé une solution logique à tout ça annonce "c'est par là, ce devrait être par là". J'avance dans une espèce d'ancienne garderie pour enfant, le sol est carrelé, rouge, la cantine aussi, je sors de là, cours dans la rue, soulagée. J'ai trouvé l'entrée de la grande salle de spectacle. J'entre, il fait noir, des dizaines d'employés montent les sièges pour ce soir, et tout ça sans lumière. Je veux descendre les marches pour rejoindre les dortoirs, bute contre des grands tuyaux métalliques, "attention!", bah oui mais je vois rien!
On entre dans ma chambre. Merde, la lumière, refermez la porte! Mon rêve! Vous allez me faire perdre mon rêve! Eden!
Je suis devant l'immense bâtisse aux onze étages, du côté droit, passée par une toute petite sortie. Je suis en Angleterre/Italie. Un mix des deux. Les gens parlent tous en anglais, j'ai énormément faim. On s'arrête à des genres de snack-bar sans jamais véritablement manger. Je suis avec mes parents et des amis. Je crois que je les lâche au moment où ils entrent tous dans une espèce de magasins design fashion, qui vend des bagues en plastique à 34€, et des sac Hello Kitty sans vraiment l'être, des vêtements inabordables et pas plus intéressants que ça. Je fais le tour quelques instants puis m'ennuie. Je retourne au grand bâtiment. J'ai alors des vieux patins à mes pieds. Je suis sans arrêt en équilibre, et toujours à assez grande vitesse. Néanmoins, je gère. Je rencontre un Il (click !) qui me plait. J'ai soudain envie de le serrer dans mes bras, ce que je fais sur le champ. Il est étonné, mais la force de mon amour le pousse à me rendre la pareille. On reste comme ça quelques instants, et lorsque l'on se sépare, il est séduit. Je me rends alors compte de cette loi universelle : je peux séduire n'importe qui en le serrant simplement dans mes bras. Je m'exécute sur son frère, ce qui a la particularité d'agacer le précédent.
Je me réveille définitivement.
Ça a commencé par une espèce de jeu de rôle vivant. Je ne sais pas pourquoi, j'avais décidé d'être un humain barbare, le genre de truc qui ne m'intéresse pas d'ordinaire. Je cherchais indéfiniment le petit papier où les instructions m'avaient été données, parce que j'avais un rôle spécial à jouer dans la quête. Avant de finir mon rêve, j'ai vu mon personnage apparaître sur un cheval, il était âgé et sage et représentait le messager, celui qui allait donner du sens à l'histoire.
Mon réveil a sonné une nouvelle fois, je me suis repliée sur moi même et ai entamé un autre songe.
J'étais entrée dans un bâtiment à étages, une fête se préparait. En bas, sur les escaliers, il y avait du courrier pour moi. Finalement, je ne savais pas si c'était ma maison ou celle d'un autre, ça a perturbé mes yeux quelques secondes, puis, comme j'étais avec du monde, je les ai suivis jusqu'à la porte de l'appartement. A l'intérieur, ça s'agite, je m'assois sur le canapé, on est censé attendre encore quelques personnes. On sonne, j'entends les gens se dire bonjour entre eux, quelqu'un s'avance vers moi, c'est Eden. Il s'esclaffe, il a le droit, ça fait au moins deux mois que j'ai pas de ses nouvelles, il vient pour me faire la bise mais me dit qu'il ne sait pas vraiment se positionner par rapport à ça. A quoi? Il m'embrasse sous le nez, puis sur le menton. Directement après, il agrippe ma bouche avec ses lèvres, scotchées contre les miennes. Je ne sais absolument pas comment réagir alors je reste comme ça, et ça dure, jusqu'à ce que je n'arrive plus à respirer. Je le pousse pour m'éloigner, il me retient avec ses lèvres, je lutte de plus en plus fort et lorsque je parviens enfin à me décrocher de lui, il me sort sarcastique quelque chose comme "bah alors, je croyais que tu savais retenir ton souffle un peu plus longtemps!". Peut-être, mais il m'a désamorcée. Il revient comme si de rien n'était et m'embrasse sans rien m'expliquer, alors c'est normal, d'exploser de l'intérieur de toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites mais qui ne m'ont pas empêché de ressentir. Pour autant. Je suis troublée, les gens redescendent les escaliers, en bas c'est une pièce immense, ça ressemble à une salle de spectacle totalement démontée. Débute les festivités, on se parle en groupe chacun à tour de rôle, c'est chiant comme une soirée réelle. C'est un bâtiment qui s'étend à perte de vue, il y a des chambres pour chacun dans de grands couloirs mal éclairés. Je cherche Eden comme toute fille amourachée qui se respecte, mais l'espace est très vaste. Dans la cuisine-salle à manger, il y a une deuxième porte, je crois capter des bruits bizarres. J'ouvre, je me retrouve sur la scène avec une chorale en pleine répétition. On me dit "C'est toi la remplaçante? Il nous manque une soprane.", je fais "Non, c'est pas moi, j'étais pas au courant, j'étais à la fête en train de..." - "Parce qu'à l'instant, y'a Marie-Hélène qui est allée en débusquer une." - "Bah c'est pas moi, je l'ai pas croisée, mais si jamais je peux essayer de chercher une remplaçante moi aussi..." - "Tu seras gentille mais fait vite, le concert va bientôt commencer!". Je retourne alors dans la cuisine-salle à manger, et malheur, croyant me repérer en toutes circonstances, je passe par un couloir légèrement différent qu'à l'aller. Je marche quelques instants, j'entends de la musique, un petit orchestre est en train de s'accorder. Un des musiciens, en m'apercevant, désabusé (comme si ça lui arrivait régulièrement) me lance en soupirant sans que je ne lui aie rien demandé "c'est l'étage du dessus". Soit. Je m'exécute. Monte les escaliers. Marche encore. Les couloirs sont de plus en plus sombres. Un peu de lumière, je m'y engouffre. Je suis à l'extérieur, dans des pâtés de maisons assez bourgeois. Non, non, non, je retourne à l'intérieur, réfléchis. Ça suffit, Dine, t'as pas pu aller si loin. Reviens sur tes pas, redescends, croise un gardien de la sécurité. - "Excusez-moi, les dortoirs, s'il vous plait?" - "Lesquels, il y en a tellement." - "Je suis avec le groupe C, à côté, il y a une grande salle de spectacle." - "Ça doit être tout en bas." - "Vous ne voulez pas m'accompagner?". Et rebelote. Redescendre les escaliers, traverser les couloirs, tourner à certains endroits, je me rappellerai jamais de tout. Le gardien avance, "ce doit être là", mais moi je ne vois rien. C'est lugubre, désaffecté. On marche sur des platebandes avec des rambardes et en dessous, c'est le grand trou noir, le vide incommensurable. Ça fout la chair de poule. Il n'y a personne, et certaines fois, des murs devant nous. C'est criblé de toiles d'araignées. Le vent pousse des cris dans les gouffres sous nos pieds, ils nous attirent. Le gardien, qui se chie dans son froc, me dit "eh bien, je vais vous laisser". Il part beaucoup plus vite qu'il n'est arrivé. J'ai peur moi aussi. Surtout toute seule. Je sens que c'est mauvais. Que de toute façon, ce n'est pas l'endroit que je cherche. Je remonte vite les étages avant qu'il ne m'en arrive une, retombe sur l'orchestre, une ribambelle de mômes en colonie de vacances me passe au travers en jacassant, l'instrumentiste exténué leur dit "C'est au dessus!". Je les suis, ils prennent l'ascenseur. Je rencontre une fille de mon âge, souriante. Lui raconte la fête qui m'attend mais que je ne parviens à rejoindre, elle est d'accord pour me suivre et en profiter pour y participer. Elle est blonde, a les cheveux lisses, un peu plus en chair que moi. Toutes les deux, on sillonne les étages positifs, mais rien n'y fait, à chacun d'eux, on finit par se retrouver dehors, dans un lieu différent. Chaque étage a un dehors, un pied à terre ferme. C'est résolument impossible, pense-t-on. On marche, on longe le bâtiment jusqu'à faire face à l'entrée principale. Chouette. D'immenses escalators sont érigés devant nous, évidemment, je les prends à l'envers et galère pour récupérer la fin, du tapis reculant au sol normal. Une fois réussi, je réalise que plein de gens m'ont suivie et se sont tous autant trompés de sens et gamellés que moi. Les moutons. Je me dirige vers les ascenseurs principaux. Rentre avec ma copine blonde. En fait, je me demande si je ne l'ai pas rencontrée à ce moment précis. A moins que le temps se soit remonté. Je regarde les chiffres des étages défiler, il y a six niveaux inférieurs et cinq ou six supérieurs. Et là je me rends compte. C'est l'étage cinq. Autant je l'ai cherché au niveau supérieur, autant je suis allée au dernier niveau inférieur, mais pas à l'avant dernier, le -5. J'appuie sur le bouton, on s'enfonce. Couloirs à nouveau. On marche, lumière du jour, et zut, on est encore dehors, sur une grande place. Deux bâtiments sont devant moi. Du batiment de droite, je vois à travers la baie vitrée la chorale qui fait son concert. Je me demande s'ils ont finalement pu trouver leur remplaçante. Je regarde le bâtiment de gauche, il n'a pas l'air relié à celui de droite. Et pourtant, je m'y engage. La fille avec moi est consternée "mais pourquoi tu fais ça!" et moi, comme ayant réfléchi pendant des heures et trouvé une solution logique à tout ça annonce "c'est par là, ce devrait être par là". J'avance dans une espèce d'ancienne garderie pour enfant, le sol est carrelé, rouge, la cantine aussi, je sors de là, cours dans la rue, soulagée. J'ai trouvé l'entrée de la grande salle de spectacle. J'entre, il fait noir, des dizaines d'employés montent les sièges pour ce soir, et tout ça sans lumière. Je veux descendre les marches pour rejoindre les dortoirs, bute contre des grands tuyaux métalliques, "attention!", bah oui mais je vois rien!
On entre dans ma chambre. Merde, la lumière, refermez la porte! Mon rêve! Vous allez me faire perdre mon rêve! Eden!
Je suis devant l'immense bâtisse aux onze étages, du côté droit, passée par une toute petite sortie. Je suis en Angleterre/Italie. Un mix des deux. Les gens parlent tous en anglais, j'ai énormément faim. On s'arrête à des genres de snack-bar sans jamais véritablement manger. Je suis avec mes parents et des amis. Je crois que je les lâche au moment où ils entrent tous dans une espèce de magasins design fashion, qui vend des bagues en plastique à 34€, et des sac Hello Kitty sans vraiment l'être, des vêtements inabordables et pas plus intéressants que ça. Je fais le tour quelques instants puis m'ennuie. Je retourne au grand bâtiment. J'ai alors des vieux patins à mes pieds. Je suis sans arrêt en équilibre, et toujours à assez grande vitesse. Néanmoins, je gère. Je rencontre un Il (click !) qui me plait. J'ai soudain envie de le serrer dans mes bras, ce que je fais sur le champ. Il est étonné, mais la force de mon amour le pousse à me rendre la pareille. On reste comme ça quelques instants, et lorsque l'on se sépare, il est séduit. Je me rends alors compte de cette loi universelle : je peux séduire n'importe qui en le serrant simplement dans mes bras. Je m'exécute sur son frère, ce qui a la particularité d'agacer le précédent.
Je me réveille définitivement.