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The show must go on (suite et fin)
--> Compte rendu du 30 avril 2005


Je ferme les yeux et fronce les sourcils. Je vais de toutes façons le regretter alors....de quoi ai-je le plus envie, dans l'instant présent?

Mes doigts glissent sur la portière, m'engouffrant dans le siège arrière, Gourou enfin peut ordonner de sa voix dictataire(il existe pas ce mot) au conducteur :
-"Aller, démarre."
Je regrette déjà mon choix. Rooky et Rambo passeront la soirée tous seuls avec leurs guitares, Rambo ne verra pas son frère jouer sur scène, Rooky ne pourra pas m'enlacer dans ses bras, Maro ne sera pas heureux de me voir, mon cœur se serre. J'ai pris la décision la plus égoïste qui soit. Et je ne l'assume pas.
Nous sommes sur l'autoroute, on en a encore pour un petit trajet, je me ronge les ongles....ah là là....je regrette, je regrette....mais j'attendais ce moment avec tant d'impatience, c'était un de mes rêves. Une de mes idoles, un Matthew Bellamy de la chanson ska festive, c'était mon Maro à moi, comme j'aimais qu'il soit : sur scène, dévoué à sa musique. Il ne fallait pas que je rate ça, non. Je n'aurais peut-être plus jamais l'occasion. Mais alors pourquoi? Pourquoi ai-je tant mauvaise conscience?

-"Allô Rooky? Dis-moi.....et en stop, y'a pas moyen que vous vous rameniez?"

Il a répondu que ça les tentait, j'ai demandé à Poubelle l'endroit exact de la salle, elle n'en savait pas plus que moi, juste un simple nom de quartier. Ca a suffit à Rooky pour m'annoncer :
-"Bon...on arrive."
Je referme le téléphone, une petite voix m'annonce que je viens de consommer le peu de forfait qu'il restait à Rooky, il va moyen apprécier quand je vais devoir le lui rendre...
...mais au moins, j'ai la conscience tranquille, je vais pouvoir profiter de cette magnifique soirée sans me poser de question. La voiture roule, on reçoit un coup de fil de gars qui sont déjà à destination afin de nous guider sur la voie à suivre. Il faut passer 6 ronds points, on se retrouve dans une sorte de village sans panneau d'indication, et plus on avance, plus on s'enfonce dans les ptites villas de bourges, enfin.....aucun rapport avec l'endroit où on devait aller à la base quoi. Et pourtant, c'était ici, un peu plus loin, au milieu des habitations, un parking, un grand espace, un bâtiment joliment graphé, du petit monde qui attendait devant l'entrée. Mais alors quand je dis petit, y'avait quatre voitures qui se couraient après....j'ai pensé : "on est au complet, là?". Une trentaine de personnes, pas plus. J'appelle Rooky sur son portable hors forfait, il me raconte qu'ils sont sur le chemin, qu'ils nous rejoignent bientôt. Maro vient nous faire un coucou, y'a plein de gens de Pag qui sont descendus exprès pour le concert, en fait, on est tous entre potes. Néanmoins, le groupe s'inquiète un peu du manque de peuple. On se cale tous par terre, on fait connaissance entre gens gentils. Je remarque des têtes pas anodines, le batteur du groupe me reconnaît, on s'était vu qu'une fois alors ça me fait plaisir. Ils sont attendrissants, tous. Le concert commence avec plus d'une demi-heure de retard, Rooky et Rambo ne sont toujours pas de la fête, je commence à flipper. Qu'ils trouvent où se situe la salle tiendrait du miracle, ils n'arriveront peut-être jamais à destination.

On s'installe dans la salle, les spots s'éteignent, il y a presque autant de gens sur scène que dans la foule, pour moi c'est tant mieux après tout. Je voudrais bien vous raconter ce qu'il s'est passé pendant ces quelques heures trop courtes, mais je crains que mon discours ne soit trop explicite pour les moteurs de recherche. Alors je dirais juste que j'étais vachement fière. Fière de les connaître, d'avoir chanté leurs chansons avec eux, d'y avoir contribué. Fière de Maro, qui donnait tout, qui crevait l'écran de la réalité. Pourtant, il n'était pas sincère, c'était un sourire trop extravagant, des pas de danse trop enjoliveurs, ce n'était pas vraiment lui, ce n'était pas le vrai bonheur. Finalement, je le préfère tout seul dans sa chambre, avec sa guitare. Mais ça ne tient qu'à moi...

En plus j'ai honte mais....j'ai flashé sur le bassiste. Si je vous jure, c'est tout à fait mon type, en plus, sur scène, il n'arrêtait pas de me fixer en me faisant des sourires, je suis sûre que j'ai une touche(midinette attituuuude)....j'adore les petits bouts de choux timides, surtout s'ils ressemblent à Matthew Bellamy. Ha là là....qu'est ce qu'il était mignon....si je le revois, je m'en fout, je lui saute dessus. Comme une sauvageonne (c'est que de la tchatche...).
J'aime leur mimer les paroles à chanter, j'ai l'impression d'être alors en symbiose. Et je danse. Avec Poubelle, et tous les autres. Pour pallier le manque de personnes (et d'ambiance, admettons-le) à ce concert, on avait trouvé la technique Poubelle et moi. Dès le morceau terminé, on applaudissait et criait pour quatre, on imitait toutes les voix inimaginables en l'espace de quelques secondes, et ça fonctionnait, ça donnait vraiment l'impression qu'on était plusieurs couillon à s'égorger la voix. Je rigolais bien, même si régulièrement, je me retournais vers l'entrée de la salle pour espérer un miracle. Et au bout d'un énième torticolis (d'ailleurs à la fin les gens se demandaient vraiment de quel côté était le spectacle), je les ai aperçus. Rooky attendait avec Rambo devant l'entrée, comme je l'avais prédit, les mains dans les poches. Il s'est avancé à vive allure, j'ai poussé un cri de joie avant de me jeter dans ses bras et décoller du sol, emportée avec lui dans une valse sans fin. On tournait, on tournait, on gênait tout le monde....enfin, le peu de monde qu'il restait bien entendu. On était seul. Mais pas seuls comme on l'entend. On était juste plus que tous les deux, parmi les gens, les autres, qui déjà? 
J'étais bien là, avec lui. J'étais heureuse. Rassurée. J'avais confiance. Quand Rooky était là, je n'avais plus peur de Maro. J'ai quand même dû le lâcher, il fallait qu'il respire, et moi écouter la musique. Alors Rooky est allé s'asseoir dans le fond de la salle, jusqu’à la fin de la représentation. Lui-même étant musicien dans un groupe, la prestation de Maro lui a foutu une sacré claque, et j'ai senti, quand il m'a avoué cela, qu'au fond il ne se croyait pas à la hauteur. Pfff....moi je m'en fout qu'il n'égale pas Maro, chacun est tel qu'il est, mieux ou pire que son voisin. Je veux juste qu'il soit bien dans ses godasses quand il est avec moi, comme moi quand je suis avec lui. Avec lui, j'ai le droit de rire. Et ça soulage.

Pendant l'entracte j'ai suivi Coq et Poubelle dans leur délire nature et découverte. Ils se sont éclipsés dehors, hors de la foule, et ont commencé à s'enfoncer dans les broussailles. C'est toujours quand on porte des sandales qu'on doit courir après les gens pour les rattraper. Ils ont escaladé la motte de terre, moi derrière je les faisais chier à crier :

-"Attendez mouaaa!"

Poubelle m'a tendu la main pour me relever, Coq avait déjà tracé depuis longtemps. On avait atterri au beau milieu de la montagne, creusée de petits sentiers sinueux. Et à perte de vue, les étoiles. Coq essayait de monter sur les grandes installations électriques. De près, avec leur couleurs et leur lumières rouges et blanches, elles ont une dimension esthétique. Poubelle et moi nous asseyons dans l'herbe, au loin un gars qui a abusé sur les décibels de ses ampli nous joue du :
-" Doo wap. Wap wap doo wap. Doo. Doodoodoodoo Doo."
Ca nous fait bien marrer, surtout quand on enchaîne la chorégraphie qui va avec. Ce qui nous fait moins marrer, c'est quand on remarque des frétillements louches dans l'herbe, à nos côtés.
-" T'as pas entendu un truc bizarre, là, juste à l'instant?" me fait Poubelle.
-" Ha toi aussi....merde!"
Et toutes deux, criant à l'unisson :
-" Bon Coq, heuu....nous on s'casse!"
On se retourne, on commence discrètement à rebrousser chemin, l'herbe frétille de nouveau, on part en courant les yeux fermés, les bras gesticulant dans tous les sens. Quelles froussardes. Coq est mort de rire. C'est parce qu'il a rien entendu qu'il fait son fier.

On retourne ni vu ni connu au concert, mais manque de bol pour moi, il me reste de la paille dans les cheveux. Rooky sourit, me l'enlève délicatement :
-" Mais où t'es encore allée traîner, toi?"
Je le serre fort dans mes bras. Je ne le lâcherai pas jusqu'à la fin des deux autres concerts. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été aussi câline avec quelqu'un. C'est pas grave, les groupes sur scène peuvent jouer de la merde autant qu'ils veulent, lorsque Rooky est là, plus rien n'a vraiment d'importance. Je suis à lui et il est à moi. Je veux dire....pour de bon. Pas besoin de se cacher, ni de faire les hypocrites, on peut s'aimer devant tout le monde. Même si je ne suis pas amoureuse. Même si lui non plus. Juste là, l'un contre l'autre, à se regarder intensément sans mentir à personne, on est ensemble. On est ensemble! Ouf, enfin une relation normale.
Maro est installé près de nous à une table où il vend ses CDs. Sa petite copine est avec lui, Poubelle m'en avait beaucoup parlé. Elle était là. Elle. Toujours la même depuis que je connais Maro. Elle avait survécu au temps, Elle. C'est bête, elle est comme je l'avais imaginée, en plus. Vraiment une fille contre qui j'aurais pas pu rivaliser. Maro se retourne vers Elle, lui sourit, l'embrasse sur la bouche avec toute son affection, un petit baiser pour lui dire qu'il l'oublie pas.

Il ne m'a jamais embrassé.
Je suis nulle, au début, c'est moi qui n'ai pas voulu. Je n'avais pas envie de me faire embrasser sur la bouche par quelqu'un qui ne prend pas notre relation au sérieux. Pour moi, aussi idiot que cela puisse paraître compte tenu du reste de l'histoire, un baiser c'est comme une promesse. La promesse qu'il n'y a que moi. Et avec Maro, les premières fois où il a essayé de m'embrasser, j'ai refusé, parce que je voulais plus. Plus d'attention, plus de privilèges, nianiania..... Au début, il était plutôt frustré mais il s'est rapidement habitué, il ne me l'a plus jamais demandé après cela. Et je m'en suis mordue les lèvres. Parce que bientôt, c'était moi qui crevait de ne pas pouvoir poser ma bouche contre la sienne. Mais je ne lui ai jamais rien dit, évidemment....
...quelle conne.

Je regardais donc le spectacle, en simple témoin. Mais ça ne m'a pas fendu le cœur. Au fond, je culpabilisais presque de ne pas être jalouse d'Elle. Non, pendant cette soirée, j'avais mon petit Rooky qui me comblait, on pouvait se faire plein de petits bisous nous aussi. Lui, il avait le droit. Aaaaah.....j'étais bien. Finalement, si Rooky n'avait pas été là, je crois que je m'en serais coupé les veines. De voir tous ces gens si loin de moi agir comme si de rien n'était. Et la douce désillusion, l'étalage de leur bonheur sanglant et éphémère. Ces personnes qui se déchirent, d'autres qui se retrouvent. Et moi, loin, si loin de toutes ces histoires. Si différente. Pourquoi ne m'en étais-je pas aperçue avant? Je ne fais pas partie de leur cercle.
Nous n'avons pas la même conception de la vérité.

A la fin de la fête, Poubelle m'annonce qu'elle ne peut héberger que moi mais pas Rooky, encore moins Rambo. C'est soit je viens cash avec eux, soit je me démerde pour rentrer. Je tourne mes yeux vers Rooky qui hoche la tête....il est venu en stop et n'a pas de plan de retour. Il me dit d'agir comme je le sens car il ne peut rien m'assurer. Encore un choix Cornélien pour la Dine. Dormir chez Maro, dormir avec Rooky. Tiens, il faut toujours à un moment où à un autre  que j'aie à trancher entre les deux. C'est le destin qui se joue de moi.

Je m'accroche au T-shirt de Rooky, plaintive et suppliante :
-" Je veux rester avec toi, moi...."
Il caresse les anglaises de mes cheveux, rassure Poubelle :
-"On se débrouillera, t'inquiète..."
Poubelle me dit au revoir, disparaît dans l'embrasure de la grande porte. Le staff technique range le matériel. Le frère tromboniste de Rambo vient nous rejoindre pour taper la discute, je pose ma tête sur les genoux de Rooky et ferme les yeux. Le bruit peu à peu devient sourd, tout s'assombrit dans le silence, je suis en sécurité. Je crois que j'ai dormi.
Quand j'ai rouvert les yeux, Rooky m'a fait m'installer dans une camionnette qui transportait la sono. Le gars qui réglait avait accepté de nous ramener parce qu'il le connaissait un peu. Alors, à quatre sur trois sièges, on a commencé à rouler. On a bien ri, aussi. Le pauvre type avait une autre fête à mixer, à 3 heures du matin. Mais il était insomniaque alors ça l'arrangeait. Ce n'est qu'une fois descendue du gros engin que Rambo cale dans la conversation :
-" Tiens, c'est la première fois que je vois ce gars clair. Quand il a pas avalé ses cachetons, il a une drôle de tête."
J'ai ravalé ma salive. Je me serai vraiment pas sentie de prendre la voiture avec un gars complètement défonce au volant. Merci mon Dieu de m'avoir épargné cela.

On s'est tous les trois dirigés vers l'appart de Rambo pour y passer la nuit. Vous savez, le local comprimé près des poubelles.... Il n'y avait qu'un minuscule canapé lit pour trois mais on n'a pas fait les difficiles. Rambo ne s'endort jamais sans musique alors il nous a passé l'intégrale d'Absolution, de Muse. Mais bon, normalement, à 3h du matin, le sommeil, il vient vite, non? Pas pour moi, quand on passe du Muse où je me sens obligée de chanter les paroles malgré ma volonté de dormir, et c'est encore plus dur quand on connaît le cd par cœur....
Mais ce soir là, Rooky était câlin alors ça allait. Je pouvais lui souffler les paroles à l'oreille, entre deux inspirations. Même si on était serré comme des bœufs, j'étais au confort dans ses bras et....je ne demandais rien de plus. S'il pouvait être là, comme ça, tout le temps...comme la vie deviendrait agréable. La réalité ne pourrait plus me blesser. Ni personne.


On est resté l'un contre l'autre jusqu'au matin bien entamé, et dur fut le moment des adieux, où chacun reprenait sa petite vie banale de son côté, comme avant. Bien sûr, dans nos têtes, tout était différent. Bourré de fantaisie, de projets à deux, d'images affectives, d'expressions rigolotes, de souvenirs si charmants....
C'était l'heure du dernier baiser, c'était la troisième fois que je disais que je m'en allais pour de bon. Il était petit, celui là parce qu'on savait que si ça durait plus longtemps, on reviendrait sur notre décision. Alors on s'est éloigné, peu à peu....

-" A très bientôt! " me criait Rooky, déjà loin.

Il ne rappellera jamais.


Ecrit par Dine, le Lundi 20 Juin 2005, 17:54 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

Feu
Feu
21-06-05 à 11:03

Euh, Dine... Votre décision, à Rooky et à toi, c'est de se séparer????
Ou juste, de se quitter le temps de la journée, ou d'une semaine, pour se retrouver comme tous les couples à la fin de la journée/de la semaine?
"on reviendrait sur notre décision." : quelle décision?
Et en même temps, il t'a dit "A très bientôt", alors...

Zut, oups. Bon, j'comprends plus rien.
Quel suspens! ;)
Désolée pour toutes ces magnifiques interrogations intempestives...!

 
mangakadine
mangakadine
21-06-05 à 12:13

Re:

lol Feu! ça montre que tu t'intéresses!
Quand je parle de revenir sur notre décision, dans ce cas précis....en fait c'était juste que ça faisait déjà trois fois que je lui disais aurevoir, mais qu'on arrivait pas à se lacher pour rentrer chez nous. Et le petit baiser d'adieu ne devait pas être plus grand que cela, parce qu'on savait sinon qu'il se transformerait en étreinte, puis en câlin, et rebelotte, on ne serait pas partis de sitôt....
...rien de bien alarmant, en somme.

 
Lissadell
Lissadell
21-06-05 à 15:30

"Il ne rappellera jamais."
Ca veut dire quoi, cette phrase, là ?...
J'ai eu l'impression que ça voulait dire que tu n'avais plus jamais eu de ses nouvelles, mais on ne dirait pas que c'est ça, si ?...
Bises, et merci pour la suite =)

 
MangakaDine
MangakaDine
22-06-05 à 14:35

Re:

C'est fou hein? on ne dirait pas que c'est ce qu'il va se passer, surtout après le récit que je viens de raconter juste en haut de cette petite phrase....
...et pourtant, il faut bien la prendre comme elle est écrite, cette phrase, elle est hélàs le reflet de la réalité.

 
ryne
ryne
21-06-05 à 15:56

Ben voilà, ma Dine poste, moi je commente. J'aime mes petites habitudes.

Bizarrement tout s'est passé comme ma tite tête l'avait imaginé. A part peut être moins de "choses" avec Maro. Je pensais quand même à une discussion, ou à un regard plein d'un sentiment que ni toi ni lui ne pourrait décrire mais qui n'appartient qu'a vous. (c'est mon côté bisounours...)

Fin bref, j'aime ça te lire quand même. Et puis même que le jour où je viendrais voir ma fillote, ze veux aller à leur concert. Comme ça je rentrerais d'un pas décidé dans ton univers. Quitte à abandonner celui que j'ai imaginé. C'est quelque chose que j'ai vraiment envie de faire, si tu es d'accord.

Je te souhaite plein de bonheur avec le Mr que je trouve que c'est un beau fils tout ce qu'il y a de bien. Pour toi einh!

Allez hop, c'est pas tout ça mais j'ai un tram à prendre moi. Ze revois ma pêche dans un peu moins de trois semaines et il me faut un siper maillot de bain (n'est pas superficielle qui veut...)


 
MangakaDine
MangakaDine
22-06-05 à 14:43

Re:

Maro, en un sens, n'est pas attaché à moi.Que je sois là ou pas pour lui, ça n'a aucune importance. Ca le gène surement plus que ça lui fait plaisir. Surtout qu'il était avec sa copine chérie, et même si j'ai pas vu pleins d'étoiles dans ses yeux quand il la regardait Elle, j'ai sentie qu'il la considérait comme étant SA femme attitrée. Moi aussi, je l'attendais peut etre aussi un peu, mon passage bisounous, mais Maro est tellement fort pour faire l'indifférent....

19 et 20 août si tu es libre dans ces eaux là, je t'invite à la zonzon, pour l'épopée de ta vie dans la mienne.