Ecrit le 16.10.05 à 21h50
Il est arrivé pendant que je discutais avec ce gars, et s'est naturellement immiscé dans la conversation. Ca faisait longtemps qu'il n'avait plus fait cela, rechercher ma présence. On causait tous les trois, et il me vannait avec le sourire. Et il riait, avec des yeux pétillants. Difficile à croire que la veille, il m'annonçait sa rupture avec sa fiancée.
J'ai longtemps hésité à en parler ici, parce que bon, je ne voulais pas rajouter de complications à ce blog et puis....je ne lui avais pas encore trouvé de pseudonyme adéquat. Mais ça y est, c'est maintenant une évidence. Je vais l'appeler Fly.
Pour beaucoup de raisons pas toutes explicites. Parce qu'il bourdonne de droite à gauche, avec une énergie dont on ne sait d'où il la choppe. Parce que c'est le titre d'une de mes chansons qu'il me fredonne à chaque fois, pour se moquer. Et parce qu'il est comme ça, un être volant, tout droit descendu du ciel.....pour soulager les peines des autres. Un ange gardien, en quelques sortes.
Il était déjà présent, dès ma naissance.
Quelque part dans mon espace vital. Je ne le croisais que de loin, à l'époque, et puis c'était un grand, 7ou 8 années de plus que moi...pour un enfant, ça parait une éternité infranchissable. Puis j'ai grandi, et on a commencé à sourire pour se dire bonjour, gentiment. Il était beau. J'aimais bien l'observer secrètement, assise derrière tous ces gens, il ne pouvait pas me voir. Et puis un jour, il y a quelques années, nous nous sommes retrouvés dans le même cercle de fréquentations. C'est à partir de là qu'on a vraiment fait connaissance. De loin, il paraissait très timide et réservé..... Pourtant, il est naturellement venu vers moi, pour me mettre à l'aise, alors que les filles de l'époque me faisaient toutes une crise anti-Dine. Il s'est occupé de moi, ne m'a pas laissé dans mon coin, sans pour autant délaisser les autres. Il était toujours très pris par tout le monde, et leur apportait tous un amour égal, sans favoritisme. Un amour pur et altruiste, à la hauteur de l'homme qu'il était.
J'étais dans ce groupe, mais j'aimais toujours l'observer en secret, j'avais gardé les vieux réflexes de gamine. Je n’étais pas amoureuse, non. Juste admirative. Il était effacé et modeste, il en brillait d'autant plus. Un ange dans toute sa splendeur.
Alors bon, quand on a une telle attitude, quand on considère l'autre comme un être lumineux et magique, on ne peut pas vraiment s'en approcher, on reste à sa surface. Oui, on discutait de temps en temps lui et moi, il était toujours doux et courtois, mais il y avait cette distance.....celle qu'il mettait automatiquement entre chaque femme, je n'avais pas compris pourquoi.
Et puis, il s'est passé cette chose.
C'était il y a plus d'un an, j'étais à une sorte de fête entre amis de tous âges. On rénovait une grande maison, la nettoyant de font en comble. En contrepartie, on dormait là-bas, pendant 3 jours. On était, je sais pas moi....une trentaine. Tout se passait à merveille, les gens travaillaient dans la joie et la bonne humeur, une vraie entente. Et puis le deuxième jour, j'ai senti un petit coup de fatigue. Mais j'avais trop envie de participer aux travaux alors j'ai fait abstraction. Mais, lorsque je suis allée m'enfermer aux toilettes, j'ai vu que je perdais du sang. Rien d'anormal pour une fille, rassurez-vous! J'ai mis un tampon et fait comme si de rien n'était. Vous vous demandez sûrement où je veux en venir, bref. J'avais la tête qui tournait et le ventre qui commençait à m'écraser les côtes. Je me suis allongée un moment mais je n'aimais pas être inutile à la tâche. Je voulais vite m'en remettre et repartir travailler. Alors je me suis levée, ai monté les escaliers sur deux étages, et je me suis écroulée au sol. Il aurait fallu voir ça. J'ai rampé jusque sous les escaliers du dernier niveau, et je me suis cachée là bas.
Je me suis recroquevillée dans une position bizarre en attendant que ça passe. J'avais l'habitude. Ce genre de crises, ça m'y connait. Ca a toujours été la raison principale de mes absences en cours, et comme je ne prends pas de médocs, je me contente juste d'attendre. En général, la crise atteint son paroxysme pendant maximum une demi-heure, puis après ça devient plus ou moins supportable.
Mais là non.
Ca n'avait rien de semblable. A chaque seconde, je souffrais d'une douleur de la même intensité. J'avais l'impression de revivre à l'infini le même malheur, les mêmes maux, inlassablement. Je perdais petit à petit toute ma force et bientôt, je n'avais même plus le courage de respirer normalement. Mais la douleur s'intensifia encore, et ce fut des crachats de sanglots qui jaillirent de ma bouche. Les gens accoururent vers moi.
-" Ca va?"
Genre de question que je déteste.
J'acquiesçais de la tête pour qu'on me laisse tranquille.
Mais certains voulaient appeler ma mère, d'autres les pompiers. Houlà, n'appelez personne, ça sert à rien ça va passer.
-"S'il vous plait, vous pourriez me laisser seule?
Demandé-je, à bout.
Ce qu’ils firent. Pfff.....j'arrivais même pas à pleurer convenablement en leur présence. Ils me coupaient tous mes moyens. Attroupés autour de ma personne, j'avais l'impression d'être un objet de foire, c'est pour ça que je les ai fait partir. Pourtant, j'avais besoin de soutien.
Il a descendu les marches, m'a vu allongée sur le tapis. Il s'est approché de moi, s'est agenouillé et m'a pris la main. Les larmes se sont remises à couler. Il n'a rien dit, ne m'a pas fait chier avec des "ça va" à la con il a juste été là, à mes côtés. J'ai serré fort sa main, pour me persuader que je ne rêvais pas. Habituellement, on ne voyait ça que dans les films. Une vieille dame que j'affectionne grandement est venue à ma rescousse. Elle manipule les énergies et va pouvoir m'aider à évacuer ce mal. Je sais qu'avec ce genre de pratique, physiquement, c'est beaucoup plus douloureux. Prenons l’exemple d'un poil. Ce poil qui transperce la peau pour pousser, c'est le mal. Pour ne plus avoir mal, on va le raser, il ne sera plus là, jusqu'à ce qu'il repousse. La pince à épiler, ça t'enlève aussi le poil, mais c'est plus rustique, et on ressent la douleur quand on le tire. Mais une fois qu'on l'a enlevé, on tient dans nos mains sa racine. Bref, super glamour. Tout ça pour dire que cette technique là de manipulation d'énergie, c'est douloureux, mais efficace.
Quand elle a commencé à se concentrer sur les points, j'ai senti une violente vague de chaleur m'envahir, et j'ai craqué. J'ai hurlé très fort, mes cris résonnaient sur tous les étages, mais personne n'osait plus s'approcher, ni appeler quiconque, ils avaient été prévenus de ce qui allait se dérouler. J'écrabouillais les doigts de Fly prisonniers de ma main, j'avais l'impression d'être à mon accouchement.
Comme si je revivais cet instant, comme si Fly m'avait déjà pris cette main autrefois, dans une autre vie. C'était à la limite de l'insupportable pour une petite fifille comme moi. Le plus difficile, c'était que la douleur ne me laissait pas de répit. Elle était toujours présente, et de plus en plus forte. J'avais les yeux qui tournaient et pourtant je ne m'évanouissais pas. Le plus bizarre fut de sentir les parties de mon corps trembler. J'avais la sensation que mon nez bougeait vivement de droite à gauche, mais d'un regard extérieur, je délirais. Pareil pour mes jambes, ce n'était que mon inconscient qui me jouait des tours. J'éclatais en sanglots de plus belles lorsqu'elle se concentra sur mon ventre. Et c'était si intense que je perdais les pédales, laissait parler les choses obscures en moi. Je criais de douleur, et ce cri se transformait en éclat de rire sadique, incontrôlable. Je riais tellement fort que je donnais le fou rire à ceux qui étaient près de moi. Fly et cette vieille femme. Puis des milliers d'insectes se sont manifestés dans mon ventre, comme des mouches croupissant dans la vase. Elles ont tourbillonné à l'intérieur, et puis je les ai senties partir, par toutes les parcelles de mon corps. J'ai compris que j'en avais terminé. Il m'a fallu encore un quart d'heure pour réguler ma respiration. Je pleurais toujours mais ne criais plus. Fly m'essuyait les dernières larmes qui coulaient sur ma joue et je lui ai souri, mille fois reconnaissante pour tout ce qu'il avait fait pour moi. Il m'a souri à son tour puis on a rigolé, d'une manière saine cette fois. J'ai posé sa main que j'avais agrippée près de mon cœur, pour qu'il l'entende battre. J'avais honte qu'il m'ait vue comme ça. Puis en même temps, je crois que je n'aurais accepté personne d'autre pour être à mes côtés. C'est comme si....lui et moi, depuis le début, on entretenait un lien....plus que spécial. J'ai un instant lâché sa main, elle était bleue la pauvre, pleines de traces de non circulation du sang. Lui aussi il a du souffrir... mais il n'a rien dit. Un ange, ça ne pense pas à soi.
Il est resté tout le long avec moi, m’a aidé à me mettre debout. Il a passé son bras derrière ma taille pour me soutenir pendant que j’avançais. Il m’a fait marcher dehors, autour de la maison, pour me dégourdir les jambes. Je le serrais, lui agrippais le bras si fort….c’était tellement rare qu’il me touche, je voulais en profiter encore un peu, mais sans faire de cinéma. Alors je lui disais :
-« Tu sais, t’es pas obligé de me tenir, je sais marcher toute seule… »
Mais il ne me lâchait pas, et je sentais mon cœur frémir, cette fois ci, pas à cause de ma santé…
Il m’a amené jusqu’à la cuisine, m’a préparé un thé, pour me réchauffer. J’étais encore pâle, il me frottait les mains, il était si attentionné…
Je crois qu’à cet instant là, il aurait pu me demander ce qu’il voulait.
Puis je me suis rétablie, et l’on s’est remis au travail. Le soir venu, je suis allée le rejoindre dans sa chambre, et on a parlé durant des heures. D’amour, essentiellement, d’état d’âme, de l’être profond qui est en nous. Je sais qu’il est gêné quand il est question de sentiment, mais il s’est confié, un peu. Puis j’ai filé dans ma chambre parce que, je ne voulais pas l’accaparer encore et encore. Néanmoins, je serais bien restée toute la nuit, pour de bon. Non Dine, il a une copine, il a quelqu’un, il ne te regarde pas.
Mais moi, qu’est ce que j’ai pu l’admirer…
Le lendemain, pourtant, il n’avait pas changé d’attitude. Il passait près de moi, s’arrêtait pour me masser les épaules, avec soin et délicatesse, s’asseyait à mes côtés, comme si j’étais la personne qu’il préférait dans la salle, comme si j’étais son amie.
Mais…est ce que je voulais être une amie ?
Non…dans ma tête, j’attendais plus…dans mon cœur, je vibrais. J’espérais, un peu. Mais je me disais que c’était mal. Et qu’il ne me voyait pas comme ça.
J’avais juste l’impression d’être la seule qui comptait un petit peu plus. Celle qu’il regardait, malgré tout. Malgré sa copine. C’est vrai quoi, il traitait tous les autres d’égal à égal. Et puis moi je croyais déjà avoir un semblant d’importance pour lui alors que bon, j’avais 7 ans de moins…au mieux il me prenait pour sa petite sœur… Mais…
Je ne sais pas, il y avait quelque chose. Un petit truc qui faisait que j’avais le droit de venir me confier à lui, de poser mes mains dans son dos, lui passer la crème solaire, l’éclabousser, lui tomber dessus par inadvertance, le regarder, rire, rester à ses côtés, le suivre. J’avais son autorisation.
Puis quand je me mettais au piano, seule dans la pièce, c’est lui qui venait à moi. Qui se posait derrière, et m’écoutait, sans bruit. On pouvait rester là une heure. Moi à jouer, lui à entendre. Il ne disait rien, il ne baillait pas et quand je finissais un morceau je me retournais, et il souriait. Je lui ai chanté des tas de choses, ouvert mon petit espace clôt, mon jardin secret. Il y est entré tout doucement, sans écraser les fleurs, il a fait gaffe. Et je l’aime pour ça, pour sa douceur, et la tendresse dans son regard. Et tant pis s’il m’affectionne alors que je le veux. Il y a peut être un écart entre lui et moi. Mais au moins, j’existe, de quelques manières qu’il soit. Il n’est pas prêt de disparaître de ma vie, alors il faudra que j’accepte. Qu’il en soit ainsi.
Qu’il soit fait pour une autre.
Commentaires :
Re:
Haha, j'ai compté, il me reste 29 articles à poster....et le prochain article marque le tournant de ma vie sentimentale, le début de la fac, tout ça donc.....c'est pour bientôt...!!!
Donc la question que tout le monde (donc : toi) se pose est : mais qui est le copain de Dine? Qui pourrait être le potentiel? Je te laisse faire les pronostics, mademoiselle perspicacité!
Vivement que je poste le reste de l'histoire...;)
Zibou
Re: Re:
Vivement le prochain, que j'en apprenne un peu plus... tu parles de la rentrée alors j'me dis que peut-être ce garçon n'est pas un garçon qu'on connait ( enfin connaitre heu, c'est un grand mot ! ) déjà.
J'aime bien être tout le monde ^^ Hahaha, ça me rend importante !
Viveeeeeeeement!
bisous
Re: Re: Re:
Non, mon blog n'est pas prêt de s'arrêter de si bon train! Puis même si un jour, je roucoule dans le bonheur, je pourrais raconter la pluie et le beau temps, et des choses futiles, on en a toujours sous la main!
Haha pour ce qui est du garçon....peut être...ou pas. ;)
Bientot bientot, promis.
Il va y avoir du revirement de situation, ça risque d'être encore incompréhensible....mais tant pis.
Après tout, j'fais c'que j'veux sur mon blog!
Bizzzzzz
J'ai dévoré ton article du début à la fin... J'adore vraiment ton style d'écriture... J'avais l'impression d'y être, être à ta place... Je n'ai jamais eu d'ange voletant autour de moi, cherchant à me protéger comme Fly l'a fait pour toi ce jour là... Non, moi j'avais mes parents qui me surprotégeaient et des hypocrites en guise d'amis...
J'aurais aimé être à ta place. En tout cas, qui que soit la copine de Fly, elle a de la chance... Mais il y a quand même des choses qui m'intriguent... Alors que tu as appris la veille qu'il n'était plus avec sa fiancée, tu parles de sa petite amie... Pourquoi cela?
Une chose est sûre, j'ai hâte de lire la suite...
Re:
Merci pour tous ces gentils mots...
Argh des amis hypocrites, j'essaye un maximum d'éviter. De toutes façons, ils ne peuvent pas me supporter longtemps, vu comme je suis pénible! Du coup, c'est la nature qui fait le tri à ma place, restent les gens sur qui je peux faire confiance. Pas tous, mais un peu, c'est déjà ça!
Bah déjà, je racontais un passage encore antérieur à celui de la rupture, donc il était encore avec sa petite amie. Puis dans ma tête, comme son célibat était encore tout récent (comme tu le fait remarquer, les deux articles en parlant sont à un jour d'intervalle), en moi, c'est comme si je ne pouvais me résoudre à ce qu'il ne retourne pas avec elle. Elle était faite pour lui, c'était sa femme, sa dulcinée, même s'il était désormais seul, pour moi, il lui appartenait toujours, et je n'avais toujours aucune chance.
Aujourd'hui, il est encore un coeur à prendre... comme quoi, hein.
Re: Re:
Comment ça il est ENCORE un ceur à prendre?
Mais tu vas me faire le plaisir de foncer tout de suite Dine... Allez allez allez... Surtout que d'après ce texte, tu avais toutes tes chances....
Allez... Hurry up!
Re: Re: Re:
Tu crois? Même s'il était gentil envers moi, je ne sais pas...je n'ai pas l'impression. Enfin si, un peu, il se passe quelque chose mais...arf. Tu crois, tu crois?
Non... il est tellement sympa avec tout le monde...c'est vrai qu'il m'aime bien, mais de là à vouloir franchir le pas....je suis une petite jeunette, peut etre même ne me considère-til pas comme une femme...
Re: Re: Re: Re:
Tu as quel âge? Mais franchement, oui, je pense que tu as moyen avec lui...
Je me trompe rarement concernant les autres, mais toujours quand ça me concerne, moi... Alors... Je n'ai plsu qu'à me contenter de regarder les autres être heureux...
Bon, certe, il faudrait des textes plus récents pour pouvoir mieux juger... Mais bon...
Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Joyeux niniversaire, petit poisson ;)
et je confirme, à 19 ans, 6 ou 7 ans, ce n'est rien... dis toi que j'ai une copine qui à 18 ans sortait avec un homme qui vait 15 ans de plus qu'elle...
en tout cas, je pense d'après les 2 textes que tu as (ou avais) de sérieuses chances avec lui...
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Il m'est arrivé qu'un homme de 15 ans de plus que moi me soit épris de ma jeunesse, Brush que je l'avais surnommé. C'est en partie raconté dans cet article :
http://mangakadine.joueb.com/news/83.shtml
et autre part, je ne me rappelle plus où....
Bref marchi pour mon anniv, j'ai fais la fiesta comme il se doit, et c'est pas encore terminé!
Et pour Fly....arf....si j'avais su....
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:
Et tu ne pouvais pas me rappeler que je t'avais mise au monde le 9 mars??? Non mais je te jure quelle impolitesse! (suis désolé d'avoir oublie Fillote, je savais pas la date)
Tient, tu es poisson comme Caille, c'est marrant. Alizee a dit que les taureaux et les poissons étaient complémentaires.
Je ne sais même pas qui est Fly, c'est perturbant. Je n'avais jamais entendu parle de tout çà, et ça nourrit encore plus ma curiosité quand a ces "preuves" dont tu m'as parle il n'y a pas si longtemps
Re:
En même temps, si je rappelle ma date de naissance juste avant le jour fatidique, c'est plus marrant qu'on me le souhaite!
Tiens, Caille est poisson? Voici un bien joli point commun. Je m'entends bien avec les gens de mon signe, même si parfois, cela favorise l'incompréhension. Houlà c'est pas clair. Taureau toi? Tens, Fly est taureau...super, te voilà rassurée....pffff. Quel jour, exactement?
Tu ne sais pas qui est Fly....mais tu sais peu de choses, au fond. Et puis tant mieux, comme ça tu en as toujours à apprendre, comme ça, ce Joueb n'est pas un ramassis de rabachage pour toi. Et puis, les preuves, celle là n'en était pas vraiment une, bien que....si, aussi. Moi même, je pratique ce genre de choses, un peu...
Bisou!
Re: Re:
Très chère Fillote, vous n'avez aucune mémoire... Tu m'as pourtant souhaite mon anniversaire l'an dernier. Je vais te donner un indice simple, tu trouveras forcément. C'est un chiffre double si on oublie l'année
C'est sur, j'en connais très très peu. Parce que tu es une abîme irresolvable et en plus de ça tu t'agrandis trop vite. J'ai pas des neurones de compétitions et j'ai de toute façon pas envie de faire l'investigatrice, je suis déjà assez encombrante comme ça ;)
Tu m'intrigues fillote...
Re: Re: Re:
J'ai la mémoire qui flanche, j'me souviens plus très bien.
Faut m'excuser hein, je suis un peu le poissonrougewoman de ma tribu.
Un abîme irrésolvable. Mouahaha...pas trop non. Enfin, je crois pas... Par contre, pour ce qui est de m'agrandir...c'est vrai. Mais tout va si vite. J'ai l'impression de ne pas pouvoir controler le temps, enfin, comme personne, au fond. Mais bon, c'est mieux comme ça, je vis les choses. A fond. Je pense. Puis je suis sure que j'ai de la chance, et que les gens m'envieraient, s'ils savaient vraiment. Et puis, si je t'intrigues, tant mieux. C'est le début de l'amûr...
ninoutita
Ce Fly me fait penser à mon Alex. Une espèce d'ange intouchable. Un truc magnifique (comme ton article d'ailleurs ) que t'as envie de garder tout le temps auprès de toi. Un truc déjà pris malheureusement. Mais ? Ne serait-ce pas lui Le copaine de Dine ?
Vivement la suite.
bisous