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Oui... mais demain?
--> Demain, il faudra en racheter

Ecris le 12.07.05 à 01h35
C'était mercredi dernier je crois. Rendez vous chez Poubelle, toute seule à l'appart. Quoi? Toute seule, sacrilège. Vous vous rendez compte, tous partis en vacances, sauf elle. Je venais faire la garderie, en quelque sorte. Puis ça n'arrivait jamais de nous retrouver vraiment seules, on allait faire les mauvaises filles et se raconter plein de secrets inavouables. Hop, je sonne à la porte, youhouuuu c'est mouaaaa. Super enjouée la nana.

-" Ce soir on va à la décrémaillère de PomPote."
...
heuu bonjour, comment ça va, bien et toi.
-" Par contre y'aura Rooky, ça te dérange pas?"
....
30 secondes de réflexion (et plus si affinité)… Récapitulons depuis le début.
-" PomPote s'en va de chez lui?"
Je suis toujours sur le pallier et décide enfin à m'auto-inviter dans la maison.
-" Ben oui il part à Lierpemont dans quatre jours..."

Ravalement de salive. Pourquoi tous les gens s'en vont, comme ça, sans jamais me prévenir? (je suis prioritaire, merde!) Ils n'ont même pas mon autorisation et ils se permettent de disparaître de ma vie. Vraiment, aucun tact.
-" Et à part Rooky, y'aura qui d'autre?"
-" Heuu....des gens bien...
...je suppose?"
-" Oui bon en clair tu sais pas"
Elle rigole. Moi aussi du coup. Des gens bien, des gens bien....je lui en foutrais moi, des gens bien! Quand à Rooky, ça me fait plaisir de le revoir.

Aaah mais j'y pense....vous ne connaissez toujours pas le fin mot de l'histoire Rooky. Remember (click !)....c'était un matin de premier mai sans transport en commun, où j'ai galéré ma mémé pour rentrer à la maison, et que j'ai pleuré de mes deux nyeux les déchirants au revoir de mon beau petit roux aux yeux verts. Puis, plus de news, sans comprendre pourquoi. Un mois s'était écoulé depuis, lorsqu'en sortant de chez Ex, en voiture Simone, je le croise traversant MON passage piéton, accompagné de Rambo son fidèle acolyte. Prise de surprise, je hurle son prénom par delà la fenêtre, ouvre la portière sans attendre que la voiture s'arrête(c'est super dangereux les enfants, ne faites pas ça chez vous) et accoure à mon prince pour lui crier deux trois injures à l'oreille. Alors comme ça ça fait un mois que tu ne me donnes aucunes de tes nouvelles sans même répondre à mes appels? Et ça se prétend être un petit ami, ça?
En guise de réponse, il a fait son Dezk.
-" Oui, tu comprends, j'avais besoin de solitude, nianiania...."
Monsieur s'est reclus pour faire de la musique et avancer dans son groupe. Cons de musiciens avec leur esprit créatif à la mords moi le nœud! Je t'en foutrais, moi, de l'esprit créatif ! Puff...ce qu'il m'a avancé ensuite était déjà plus crédible. Petite période dépressive et lascive. Envie de rien. De rien manger, de rien faire, de voir personne. Pas envie de me voir. Au moins, avec ça, je suis fixée.

Néanmoins, content de faire ma rencontre, il propose de m'appeler dans la semaine. Ce qu'il fit. Et hop rendez-vous en tête à tête. Tout ça pour en venir chacun au même point : las de s'investir dans des relations foireuses mais quand même, quand on est tous les deux, on est bien. Et c'est vrai que j'étais bien. Je trouvais même sa peau et son odeur agréable. Et à côté, Ex n'avait pas plus de sens qu'un vulgaire tas de chair flétrie qui sent le vieux en décomposition. Et en cette fin de soirée, j'ai quitté Rooky qui m'avait, lui, plus ou moins quitté, en ayant cette impression de m'y être plus attachée qu'avant. Et si je n'en ai pas parlé sur ce Joueb, c'est parce que d'une, je n'en ressentais pas le besoin, et que de deux, ça ne ferait qu'encore plus embrouiller les esprits. Après tout, Rooky, ça fait 6 ans que je le connais....j'ai le droit d'y tenir un tant soit peu non? Toujours est-il que lui s'en foutait et qu'il n'a plus rappelé. Ca fait un mois, à présent.
Revenons-en à nos moutons, donc.

Chez Poubelle, Dine prise au dépourvue quand la bise fut venue, voyant ses beaux projets de racontages de ragots croustillants tomber à l'eau, doit s'adapter à la situation qu'on lui impose. Ok, allons y pour la décrémaillère de PomPote avec plein de gens biens dont je n'ai même pas hâte de faire la connaissance. Entre temps, avant de filer je lui parle de ma soirée dans la chambre de Maro...de mes bêtises(click!)....oui j'ai lu ses secrets, je suis vilaine, je mérite la fessée, oh oui frappez moi!

-" Quoi, Dine, t'as lu les lettres de ses ex, celles dans le dernier tiroir de son petit meuble en bois?"

Silence.
....
noooon....
Poubelle en flag! Demask toute seule! J'y crois pas, elle avait fouillé aussi sacrebleu! Quelle honte mes aïeux, dans quel monde vagabondons nous, où l'intimité n'est de cesse bafouée par de viles créatures en soif de nouveaux p….(oui bon ta gueule)....
....Hum donc d'un coup je me sentais un peu moins seule dans ma connerie, puisqu'elle savait très bien de quoi je voulais parler. Alors je lui ai confié l'histoire de ma lettre pour Maro. Elle m'a affirmé qu'il y avait 93,7% de chance qu'il ne la lise jamais. Alors elle m'a proposé de la lui donner en main propre, et j'ai accepté. Comme ça, si elle oublie, je serai soulagée....après tout, je ne savais pas vraiment si j'avais envie qu'il sache.

Voilà, ça c'est faaaait....
Direction PomPote mon pote qu'avant j'aimais pas mais que maintenant si. Ouais, au final, c'était un chouette type. Bon, à 23 ans, toujours alcoolo, il craint du boudin mais d'ordre général, c'est finalement un gars plutôt sensible et d'agréable compagnie. Avec le temps, j'avais appris à l'apprécier et.....il allait me manquer. Pourquoi doivent-ils tous partir un jour? Saleté d'esprit d'évasion. Je t'en foutrais, moi, de l'évasion! Non mais dit...faut pas énerver Dine, c'est compris?
Hop, on sonne à la grande porte, rentrons dans l'immeuble. Poubelle et moi on se dispute sur le destin du bouton à appuyer dans l'ascenseur.
-"C'est le 4!"
-"Moi je dis 5!"
-"Pfff....n'importe quoi...."
Sortie au quatrième étage. Personne.

Finalement, c'était au deuxième. Bonjour la mémoire féminine. Super efficace que quand elle l'a décidé toute seule. PomPote nous accueille à bras ouverts, il y a déjà pas mal de monde à la zonzon. Je reconnais Pod, et puis affalé sur le canapé, Rox et Rooky, les inséparables. Je fais la bise à tout le monde, répète au moins 15 fois mon prénom, la classe. Il y a des gens qui ont l'air gentils, et malgré ma timidité innée, je sympathise avec quelques personnes. Jusqu'à même raconter avec de grands gestes mes frasques rocambolesques en matière d'orientation d'études à en faire pleurer de rire l'assemblée, c'est à dire ma voisine de gauche. Puis, satisfaite, je m'en vais m'asseoir aux côtés de Rooky pour lui dire à quel point il m'avait manqué. Mais avant même d'avoir pu ouvrir la bouche, monsieur me sort ceci :

-" Ce soir, je suis bourré, ça faisait longtemps dis donc. Je suis heureux. Bourré et heureux. Alors j'ai pas envie qu'on parle de ça maintenant."

Et moi d'un air innocent:
-" De quoooooii???"
-"J'ai envi de rester content ce soir, c'est tout. Mais ça me fait plaisir de te voir."
-" Ah, quand même..."
Ajouté-je de mon ton ironique qui le fait rire jaune.
Bah, de toutes façons, j'ai son CD mythique de RadioHead à la maison, plus la veste que je lui ai emprunté la dernière fois que j'étais passée chez lui alors.....j'aime bien piquer des trucs aux gens. Comme ça, ça les oblige à revenir.

Il s'en va pisser aux chiottes, je ne l'ai pas suivi, quand même.....je suis collante, mais pas à ce point. Un peu déçue de ne pas renouer contact. Qu'il m'évite, en quelque sorte...moi je n'avais pas cette attitude là envers lui.... En plus Pod me faisait des avances, encore (il ne lâche donc jamais l'affaire), s'asseyait sur mes genoux, comme si j'avais la carrure à supporter ses excès de poids, non mais je vous jure... Autant dire qu'il se prenait des gentilles claques à chaque tentatives, surtout que Rooky était là, et que je ne voulais pas qu'il.....me prenne pour une fille facile. Mince. Je refuse que l'on s'approche de moi juste pour l'image....pathétique, n'est ce pas?

Les heures passent, les gens défilent et se ressemblent, Rooky s'en va, j'espère que ce n'est pas ma présence qui l'a incité à partir... Commencent les jeux débiles de fin de soirée, où tout le monde est à demi explosé. On joue au chef d'orchestre, où chacun possède un signe qui lui est propre et, sur un rythme donné, en tapant des mains, appelle une personne par son signe qui doit lui répondre et rappeler un autre signe en faisant les gestes en rythme, celui qui se trompe boit. Je suis toujours extrêmement claire et concise en terme d'explications de règles du jeu, n'est ce pas?.....hum. Quoi qu'il en soit, il m'était difficile de perdre face à des gens qui ont déjà au moins trois bières dans le bide, pastis, vodka et compagnie. Même que Poubelle maronnait parce que je buvais jamais, alors elle me faisait des guilis pour me déconcentrer, la chienne. Mais même quand il m'arrivait de devoir prendre la bouteille, je bluffais. Je la portais à la bouche, mais je n'avalais rien. Ils vont pas non plus me forcer à boire, non mais. N'empêche que c'était bien marrant. Après, ils ont joué au clams avec leurs bières, je me suis alors écartée de la partie. Mon voisin de gauche s'est excusé à plusieurs reprises de devoir s'appuyer sur moi dû au manque de place, mais je suis sure qu'il n'était pas désolé du tout. Même que ça lui faisait plaisir.....et moi aussi, par la même occasion. C'est qu'il était pas moche, le petiou, et plutôt intelligent........pour un gars bourré. Même qu'il m'aurait presque plu. Il faut que j'arrête d'être attirée à tout bout de champs. C'est vrai quoi, les hommes ne sont pas du bétail! (cette phrase est surréaliste)

A la fin on a forcé PomPote à virer tous les gens, parce qu'il devait dormir chez Poubelle et qu'on devait rentrer tôt. C'est vrai quoi, le lendemain j'étais de mariage, je me devais donc d'avoir des yeux correct.

Finalement, je me retrouve à dormir avec PomPote. Dire qu'au départ ça devait être une petite soirée entre fille.....la vie ne marche jamais comme on le souhaiterait.
Avant de dormir, on grignote tous les trois un bout. Je me retire rapidement de la scène car demain je me dois de me lever tôt, et Monsieur PomPote réagit :

-" Ah parce que toi tu crois que tu vas dormir? Mais je ne vais pas te laisser fermer l’œil de la nuit...."

Crispation. Avalage de salive.
C'est quoi ces allusions douteuses de fort mauvais goût? C'est quoi ce plan? Maman j'ai peur...
Vite, armons nous de courage! Hop, en guise de pyjama, ça sera un vieux caleçon qui pue de Gourou et un T-Shirt multicolore moche, parfait tue l'amour! Avec ça, j'ai vraiment l'air d'une gourde. Qui peut encore vouloir de moi dans un accoutrement pareil? A moins d'être aveugle, ou amoureux...

Remarque, PomPote était bigleux. Sans ses lunettes, c'est comme s'il n'avait plus de cerveau. Ca doit être ça, alors...
Car cash je rentre dans l'ex chambre de Maro que PomPote fini sa salade en deux-deux pour s'allonger sur moi sans aucun tact.
-" Ah non, mais je n'suis pas une fille facile!"
J'adore sortir cette phrase avec une petite voix de bimbo prépubère. Dès que je peux, il faut que je la place.
Lui, il a pas rigolé par contre :
-" Ca y est, on peut pas être affectueux trente seconde sans que la nana pense qu'on va lui sauter dessus!"
-" Bah désolé.....jusqu'à présent, c'est toujours ce qu'il s'est passé...."
Il ne saisit pas très bien, je m'explique :
-" Dans ce lit, il n'y en a pas un qui n'ait pas essayé."
PomPote se retourne en poussant un cri d'horreur style dégoûté puis rajoute, désabusé :
-" Je n'aime pas penser que je n'agis pas différemment de la masse"
-" Et pourtant, tu es comme tous les autres..."
Et pour bien en rajouter une couche, oui je suis sadique et sans pitié :
-" Comme tous ces mecs qui ne pensent qu'à leurs couilles."
Là d'un coup, j'avais l'impression d'être une féministe endurcie. Bizarre comme sensation...
-" En même temps, si t'avais été moche et avec 40 kilos en plus, ça aurait été plus facile" se justifie-t-il.

Désolée d'être à ton goût, vraiment.

On cause, je n'arrête pas de m'exprimer au second degré, ça ne fait rire que moi. Il est sincère PomPote quand même. Ca se voit qu'il s'est pris des coups durs dans la vie.
-" Tu sais, va pas croire qu'il n'y ait que les mecs qui soient intéressés. J'en ai vu des nanas qui venaient s'incruster chez moi pour la nuit, pour tirer leur coup et plus jamais se repointer le lendemain venu. Chez les filles aussi, ça existe."
Il en parle avec un goût âpre dans la bouche, ça s'entend. Ca sent le vécu. Et la vieille douleur morbide.
Ca me ferait presque m'attendrir sur son sort, dis donc. Je me rappelle une soirée (click!) où il avait le regard triste. Celle où je portais des bas résilles. Il dévisageait mes jambes en déclarant : "c'est pas permis de mettre des trucs pareils". Il faut avouer que ce soir là, ils bavaient tous (sauf Maro....hum passons). Mais PomPote, lui, avait ce regard si mélancolique, qui signifiait "ces jambes là, elles ne m'appartiendront jamais". Ca m'avait touché, à l'époque, un peu.

Du coup dans ce lit, on s'est souhaité bonne nuit comme ça, en se blottissant l'un contre l'autre. C'était sympathique, il me faisait des grattouillis dans le dos et sur le ventre, ça m'amusait bien. Puis il est venu me glisser ça entre deux caresses :
-" La dernière fois, dans l'ascenseur(click!).....j'avais été tenté d'appuyer sur le bouton d'arrêt tu sais...."
...
MouaHaHa j'en étais sure!
Enfin je veux dire....j'avais ressenti moi aussi qu'il y avait eu une attraction spéciale, tous les deux dans cet ascenseur.... Je rigole, je m'imagine trente secondes bloquée seule avec lui dans ce petit bouiboui d'un mètre carré, le confort suprême! Remarque, c'est ça qui est excitant! (non mais Dine, à quoi tu penses, franchement...) PomPote m'agrippe dans ses bras, me porte et me pose sur lui, là, je sens qu'il est pas self control le gars :

-" C'est une torture......je n'arrive pas à te résister...."
(Moi si, ça va merci)

J'aime sa phrase, la façon dont il l’a dite, et ce "te résister" me plait. Ce n'est pas "résister" tout court, comme résister à l'envie.....mais c'est "me résister", aussi fort qu’une déclaration ou un aveux.....il faut faire attention aux tournures que peuvent prendre les phrases, hein.
Je l'ai laissé, néanmoins, me serrer dans ses bras. Il s'en allait en fin de semaine et il savait qu'il n'allait plus me revoir. Alors qu'est ce que ça faisait de lui faire plaisir durant quelques secondes? Je pouvais faire un effort.....

Le lendemain, la sonnerie du réveil fut brutale.
Pas beaucoup dormi. Le réveil est du côté de PomPote. Il se retourne vers moi et m'enlace :
-" Non....pas maintenant...."
Et la sonnerie continue de me casser les oreilles. En plus elle est du genre à pas vouloir s'arrêter toute seule. Et lui à pas vouloir me laisser partir... Mais...
...il est attendrissant, vraiment.
Ou peut-être que c'est moi qui m'émeut pour n'importe quoi. Oui, c'est plus crédible.
Je me recouche. Il veut m'apporter le café au lit. Je ne bois pas de café. Je suis chiante, hein? J'ai l'impression de le voir en train de mendier de la tendresse comme j'aurais eu envie de pouvoir le faire pour Maro. Dans ce même lit, en plus. Il a tellement vécu, celui-là. Mais hélas, Bordeaux Chesnel nous n'avons pas les mêmes valeurs. C'est un homme.....et quand je me décide à me lever du lit, il n'a pas de mal à me retenir bien fort dans ses bras, suppliant :
-" Non....pas tout de suite, reste encore un peu...."

Encore un peu + encore un peu....ça fait beaucoup! Je t'en foutrais moi, des encore un peu!
-" Tu le savais que j'allais vouloir te garder ce matin...alors t'assume!" me fait-il, taquin.
-" Oui. C'est pour ça que j'ai réglé le réveil une demi-heure plus tôt."
Il rigole. C'était vrai en plus. Je pensais pouvoir régler le problème en trente minutes et à priori, je crois qu'il en était conscient.
-" Bon....j'imagine que tu ne veux plus jamais me revoir, c'est ça?" balance-t-il, blasé. J'ai l'impression de m'entendre.
-" Non, c'est pas ça."
Pas pu répondre de manière plus explicite.
-" Alors est ce que je peux espérer te retrouver ce soir, ici?"
-" Non."
-" Et demain?"
Touché-coulé.
-" Demain je suis sensée tenir compagnie à Poubelle....alors si tu traînes toujours dans le coin....passe nous rendre visite. Allez, il faut que j'y aille."
-" Ok. A demain alors."

Ouais, c'est ça. A demain alors.


Ecrit par Dine, le Jeudi 25 Août 2005, 01:08 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

ryne
ryne
25-08-05 à 02:55

Ah les hommes. Plus tu dis non plus ça cri OUI...

Bon d`accord, je peux parler. N`empêche que ça fait du bien de voir que les hommes savent encore courir.

Oui je suis une garce, oui je l`assume pleinement.

N`empêche ma fille, jt`ai pas loupe. T`as un sacre succes.

Quant a Rooky s`il  ne lui faut que ca pour etre heureux, achète lui une bonne bouteille de vin!

Je t`en foutrais des alcooliques...

 
MangakaDine
MangakaDine
25-08-05 à 14:43

Re:

Oui enfin, un sacré succès depuis l'époque Maro, c'est à dire quelques mois. Avant, c'était calme et limpide.....je m'ennuyais presque!

Toutes façons c'est toujours quand on veut rester célibataire qu'il y a plein de gens qui frappent à ta porte. Ca te ferait limite chier presque, à force! Mais bon, on va pas se plaindre, hein. Si seulement je pouvais avoir la conviction qu'ils viennent à moi pour mon esprit et ma personnalité...mouahaha. Hum...

Quand à Rooky, il fait sa vie. Je ne vais pas commencer à le juger. Je lui envoie toujours des messages, il ne répond jamais, mais je ne désespère pas..... C'est toujours un bon ami à mes yeux, très bon même....


 
manzin
manzin
12-09-05 à 22:15

8

T'es vraiment une fille sensible qui se pose beaucoup de questions !

 
MangakaDine
MangakaDine
13-09-05 à 21:17

Re: 8

Celui là je l'aimais bien d'article, mais y'a personne qui l'a lu parce qu'il était trop long!!! Pfff quels flemmards, ces gens alors!

"T'es vraiment une fille sensible qui se pose beaucoup de questions !"

Et toi t'es pas vraiment explicite sur ce coup là!