Ecrit le 21.09.06 à 19h45
C'est à chaque fois pareil.
…
Non, en fait j'en sais rien.

Même que je m'y attendais pas, pour le coup. Qu'il revienne, et rebelote. Je ne peux m'empêcher de ne plus y croire, de me dire que le moment propice, on l'a raté tous les deux. Sauf que.

Sauf que.

C'est ta faute, à toujours me redonner de l'espoir quand je m'apprête à lâcher prise, à me couper la parole et la respiration, pour me forcer à entendre tes mots, ton choix :
-" J'ai rompu avec Rat."
-" Encore?" ai-je ironisé.
Ca ne t'a pas plu, que je ne te prenne pas au sérieux. Qu’est ce que j’y peux, tu m'avais déjà fait le coup la fois dernière. Celle-là, la première où tu m'avais déçu. (click !) Il n'avait pas duré plus d'un jour, ton célibat.
Et après, tu veux que je te croie. Tu veux que je te prenne au sérieux.

Peut-être, effectivement, que tu veux prouver quelque chose. A toi ou à moi. Cette fois-ci, c'est toi qui as cassé. Tu as prétexté que c'était maintenant ou jamais.
Je ne veux pas que tu reprennes le contrôle.

M'en fous que tu m'aimes, tu entends.
Dorénavant, si tu veux m'avoir, il faudra me mériter.