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Et puis basta
--> Last One, fin du suspense insoutenable
(Pour se mettre au courant : part 1, part 2, part 3, part 4)
3e fois.
Ca me parait loin, maintenant. 4 mois sont passés et je dois me creuser les méninges pour reconstituer les images. Je vous avouerai même que j'aurais bien envie de passer cash à autre chose. Mais je dois l'écrire, pour ne pas oublier.

J'arrive encore plus en retard que les autres soirs, le concert a déjà commencé. Je m'immisce dans la foule, deux fois plus importante que la veille, c'est à dire quatre fois plus peuplée qu'il y a seulement deux jours. Incroyable. Tous sont revenus, ont aimé, et ont ramené des amis, pour s'amuser ensemble. A travers les gens, je vois des têtes connues. Les dreads de Gourou dépassent de quelques centimètres l'horizon mondain, Poubelle ne doit pas être très loin.

Elle danse, toute mignonne, tout devant, je la rejoins. "Comment ça va? Et Aurillac alors, raconte!" Et elle me décrit comment elle a croisé Rooky défoncé là bas. Même à des centaines de kilomètres de chez soi, il y aura toujours d'étonnantes coïncidences.
-"Il est beau, ton collier."
remarque-t-elle.
-"C'est Friz qui me l'a offert, du Costa Rica."
-"Oh le chien, et dire qu'il n'a même pas pensé à ramener quelque chose pour sa mère!"
Et c'est là que j'appris que j'étais la seule.
Il n'avait pensé qu'à moi durant ses 6 mois à l’étranger. A ce moment où on se retrouverait, parce qu'il ne pouvait plus attendre...
-"Friz est ici?"
-"Derrière toi, regarde."
Effectivement, j'apercevais de loin un énorme chapeau à plume orange fluo, pas de doute, hein. Il n’y avait que lui pour porter un truc aussi kitch. Il fallait que je mette les choses au clair.
Alors je pousse les gens, pour me frayer un passage. Arrive à sa hauteur, le prends par la main d'un geste vif, et l'entraîne dehors, avec un simple :
-"Allez, viens."

Et là, je lui explique.
Je ne sais plus trop comment, ni par quels mots.
J'ai essayé, malgré ma réticence, malgré le fait que pour moi, c'était trop tôt.

J'ai essayé et ça n'a rien donné.

Il me regarde, hésite sur l'attitude à adopter. Je ne suis pas douée pour ce genre de révélations. D'habitude, ce sont les autres qui me repoussent. Je préfère être la victime, me dire que ce n'est pas à moi que revient la faute. Mais là....je le vois dans ses yeux.
Qu'il...
Alors je lui prends la main. Lui dis que je suis désolée.
Mais cette semaine, quand il est parti, il ne m'a pas manqué. Même pas une fois. C'est un signe, non? Je ne sais pas...

On se lève tous les deux, retournons au concert, comme si de rien n'était. Comme de bons potes, fumant leur clope ensemble, se racontant des banalités. Sauf que je ne fume pas, et qu'il n’était pas d’humeur à converser. Alors on s'est tu en rentrant dans ce bar.
Là, la musique que je réécoutais pour la cinquième fois en trois jours. Mais c'est pas grave. Au contraire, ça en serait presque agréable....revoir les mêmes pièces, les mêmes gens, les mêmes chants. Chantonner, à tue-tête. Après tout, on s'en fout d'être ridicule. Il n'y a pas vraiment de gens qui sont là pour juger.

Je danse avec Poubelle et Manager. J'ai l'impression d'enfin faire partie de l'équipe. La violoncelliste me fait des signes de la main pendant qu'elle joue, Gemey se contente lui, de sourire. Ray aurait dû arriver depuis plus d'une heure.

Le concert touche à sa fin, on est vraiment trop serré, le bar est bondé, le gérant doit être content. Les pogots deviennent trop "masculins" pour moi, me prendre le coin des tables dans la cuisse, ça va une fois, mais pas deux. En plus un pas doué a renversé sa bière par terre, un peu plus et la fosse se transforme en véritable patinoire pégousante.
C'est fini.
Ces trois jours incessants de musique sont terminés. Il va falloir attendre encore je ne sais combien de mois, pour espérer revoir ces gens que j'aime. En attendant, Poubelle et moi nous éclipsons dans la rue d’en face, pour se révéler nos petits détails croustillants de la semaine.

Poubelle et Gourou, en ce moment, c'est pas la joie. Pourtant, à chaque fois on assiste au même schéma : elle s'accroche, elle s'accroche, elle souffre, elle renonce, il s'attache, elle ne ressent plus rien.
C'est con à dire, mais c'est souvent pareil.
Je ne sais pas vraiment quoi lui conseiller, je l'ai tellement vue meurtrie antérieurement que je serais presque contente qu'elle soit passée à autre chose. Mais elle ne veut pas le quitter. Parce que si elle le laisse, c'est toute sa vie qui part avec.
Car tout lui est relié.
L'appartement, le sommeil. Les amis, les fêtes. La présence, les heures.
Si elle s'en va, elle n'a plus rien.
Et lui?
Lui il le vit mal. Il essaye de rattraper les choses. Mais plus il fait d'efforts, plus il s'enlise.
Elle préférait quand il s'en foutait.
-"Et toi Dine, ça te fait quoi de le revoir?"
Je souris. Mince, ça doit s'inscrire sur mon visage.

-"Tu sais quoi? Je crois que je ne suis plus amoureuse."

Elle hausse les sourcils, j'entame la danse du bonheur sous ses yeux. Youpi-Ya YoupiYoupi-Ya.
C'est la fête au village. Ouais, je suis heureuse, j'assume! Je suis seule et heureuse.
Parce que Maro...
Parce que.

Je peux le regarder sans remords. Je n'ai même pas cette douleur dans ma poitrine quand il embrasse sa bien-aimée. C'est tout juste si j'ai une petite entaille. Ah, les égratignures, ça cicatrise. Il est beau, mais il est moche. Et avec le temps, il est plus moche que beau. Ou tout simplement....plus vraiment attirant. Plus comme avant. Moins.
Enfin....je me comprends.

Disons que j'ai progressé.

Nos potes les zikoss sortent. Quoi? Ils doivent repartir maintenant?Alors...il n'y aura pas de soirée?
Pas de danses, pas de salsa, de cithare, de figures de skate ou encore de discutions enflammées...? Crotte. Et moi qui attendait ce moment pour profiter pleinement de leur présence. Le groupe s'assoit par terre, à l'entrée, certains espèrent que d'autres rangeront le matoss à leur place. Gemey est un de ceux qui s'en vont :
-"Cooomment? Tu restes pas faire la fête avec nouuus?" maronné-je.
-"Baaah..."
Il est gêné. Lève les yeux au ciel.
-"J'aimerais bien...c'est que...j'avais promis à des gens que je viendrais faire la partie percussions de leur spectacle..."
Arf... Soupirs. Des deux côtés.
Je regarde le sol. Entends :
-"J'ai pas envie d'y aller..."

Je me redresse, le fixe. Ray débarque avec une dizaine de personnes.
-"On vient pour le concert!"
-"Mais t'es con ou quoi, ça fait une demi-heure que c'est terminé."
Pfff....quelle enflure, ce gars. Quelle larve monumentale, une morvelle de la nature.
Heureusement qu'on l'aime quand même, hein.

On discute, on rigole. On fait des batailles de doigts dans le nez. Poubelle s’avance vers moi avec son regard suspicieux :
-" T'as papoté pendant un moment avec le petit Gemey, hein...."
-" Ouais, j'ai un coup."
-" Je pense. Il a l'air à bloc."
-" Tant que ça?"

Elle acquiesce. Je fais ma maligne. On se prépare des petits défis.
"Gemey, j'en fais ce que je veux..."
Ai-je lancé avec le rire jaune. Qu'est ce qu'on peut être audacieux et déplaisant, parfois.

Il s'approche.
C'est marrant, il s'en va bientôt et c'est à moi qu'il accorde le dernier souffle de son temps. Je ne dis rien mais ça me fait plaisir. Oui, en fait, j'en suis flattée. On cause musique, encore et toujours. Il me parle de la fac, de toutes ces matières qui me font baver d'envie. D'harmonie. Musicale, bien entendu. Je lui avoue que j'aimerais bien la comprendre, pour mieux composer au piano. Il m'explique certaines règles sans entrer dans les détails. Et il se répète :
-" J'ai vraiment pas envie de rentrer, ce soir."
-" Qu'est ce qui t'empêche de rester?"
-" J'ai promis...que j'aiderais. Si j'avais su..."
-" Arf, tu sais ce qu'on dit... trop bon trop con."
Un temps de silence. Je me reprends :
-" Non mais...c'est juste que ça m'aurait fait plaisir que tu restes...bon si t'as des obligations ailleurs, personne ne peux te retenir...c'est bien dommage, d'ailleurs."
Il m'a regardé en plissant des sourcils, avec un fond de remords.
Puis il a sourit et m'a tapé dans le bras :
-"T'es vraiment gentille, comme fille."
Je n'ai pas pu me retenir de rire à l'entente de cette phrase :
-"On dirait que tu dis ça dans le sens : Dine elle est bien brave..."
-"Mais noooon...!!!"
Il est gêné. N'empêche qu'il aurait pu mieux s'y prendre s'il avait voulu me faire un compliment. Il est vraiment maladroit...c'en est presque mignon. Gemey n'a plus osé parler après ça, confus dans sa manière d'assembler ses mots. Et déjà Mister Accordéon lui demandait de caser ses affaires dans la voiture.
-" Attends moi, je range et je reviens."
Bah, t'inquiète pas, je ne vais pas m'enfuir.
Parfois, j'ai l'impression de passer la soirée en tête à tête avec Gemey. Et heuu...j'en suis ravie, rien.

Il revient pour me dire au revoir. On est émoustillé tous les deux.
-"Bon ben...si tu as encore des questions sur l'harmonie, n'hésite pas à m'appeler, hein!"
Ajoute-t-il.
-"Avec quel numéro?"
-" Ah heu...ben...tu n'auras qu'à demander à un des membres du groupe qu'il te file celui de mon portable!"
Et tu peux pas me le donner toi, directement?
Non, il faut que tu me fasses valdinguer de droite à gauche, parler à ces gens que je ne connais pas, faire des bonnes manières, entretenir la conversation, tout ça parce que tu ne veux pas me donner ton numéro
maintenant?

En fait, tu ne veux pas me revoir, c'est ça?
C'est juste un prétexte...

Mais il revient, encore, après avoir fait son tour d'adieux :
-" Bon ben...j'y vais." me lance-t-il, soupirant.
Je lui tends la joue pour qu'il me fasse un gros bisou. Il m'agrippe l'épaule de sa main, et la serre fort, enfonce ses doigts dans mon omoplate.
-" A bientôt, j'espère."
Ce sera le mot de la fin.
(mais pas de l'article)

Parce que j'étais loin d'être au bout de mes peines. Même si...je ne sais pas. Petit goût de déception au fond de la gorge. Gourou et Friz, les mâles virils de la maison folle à lier ont hâte d'écourter la fête. Oui mais voilà, Poubelle et moi, on n'a pas sommeil. Comment faire? Poubelle aimerait bien me suivre, mais Gourou son compagne va se sentir dénigré et ça, elle ne veut pas. Déjà que son couple bat de l'aile... Pourtant, c'est si tentant, elle l'avoue. Et puis...
…elle les rejoindra plus tard, ce n'est qu'une question d'heures.

Alors Gourou et Friz repartent chez eux en garçons solitaires et solidaires. Ouais, ils ont dû pester et ruminer toute la nuit à notre sujet, dire que les femmes c'est traître et que ça sert à rien. Nous, de notre côté...
...on s'est bien gardées de penser à eux.

On retourne dans le bar avec le groupe. C'est l'heure de la tournée, au comptoir. Les gens se sont presque tous défilés. Il est vrai que trois soirées les unes derrière les autres, ça épuise. Du coup, le dernier soir, on se sent moins de festoyer. La barmaid s'engueulait gentiment avec son époux qu'elle trouvait trop macho avec ses réflexions. Lui il se marrait, alors elle nous prenait à témoin :
-" Non mais les filles, vous trouvez pas qu'il est macho, mon homme?"
-" Bah les hommes...il ne faut pas toujours les prendre au sérieux..."
dédramatisais-je.
-" Mais à la longue quand même… à force de s’entendre ce genre de phrases machistes tous les jours, ça saoule..."
réfutait Poubelle.
L'assemblée rigole, je me demande bien pourquoi. La barmaid se met à sourire :
-" J'aime bien la façon dont vous avez répondu, toutes les deux."

Les gens vont se coucher à l'étage. Quoi, c'est fini? Alors...personne ne se sent de danser ou faire de la musique?
Blanc.
Ouais bon ok...
Poubelle et moi on est un peu déçue, il n'y a que Beg qui est chaud pour partir avec nous. A trois on se planifie notre baignade nocturne dans la fontaine de Castellane. Chouette, ça va être amusant.
Puis aux tiers du chemin, on trouve l'idée déjà moins amusante que tout à l'heure. Mouais...demi tour. Retour à la case départ. Qu'est ce qu'on fait? Non parce que si on avait su, on serait rentrées à la maison avec les autres.
Alors on se pose entre les tables du bar, fermé aux clients. Il n'y a plus de lumière, plus aucun son. On s'allonge comme on peut dans le fauteuil une place, on entame une discussion, n'importe laquelle. M'enfin, le couple Poubelle/Gourou, en l'occurrence. Et en l'occurrence, Beg semble plus impliqué que moi dans le récit et la résolution de l'histoire. Bizarre. D'ailleurs, plus j'observe, et plus je trouve que je parle de moins en moins. Même...qu'on ne me laisserait plus parler. Poubelle et Beg, thérapie de groupe sur les peines de cœur. Tiens, ils se trouvent plein de points communs, ainsi qu'un même lieu de résidence, ailleurs qu'ici. Un même passé, des mêmes sentiments respectifs et....
...et moi je n'existe plus.

Alors je leur tire ma révérence, il est temps de rejoindre lit pour dormir. Je les laisse entre eux résoudre leurs petites affaires, ils seront plus content comme cela. Advienne que pourra.
Demain, on saura si j'ai bien fait.

Je monte les escaliers à carreaux rouges. Comme la moitié du groupe a pris le train ce soir, il reste des lits pour moi, et je m'offre même le luxe de choisir mon mien. Ce sera celui en dessous de Miaou, le bassiste trognon. En hommage à Nolita. Je m'allonge sans bruit, il ne se réveille pas. Je ne m'endors pas pour autant, il doit être dans les 5h du matin...
Ca y est, les trois jours de concerts forment leur happy end. Il c'en est passé des choses, finalement. Je n'ai pas pu tout retenir, ni tout narrer, de ce récit interminable. Alors comme il faut bien un jour déterminer une fin, ce sera celle là.

Lorsque je me réveillerai ce matin calme par rapport à d'ordinaire. Miaou encore endormi en haut du lit superposé. Sa sonnerie de réveil qui aura réussi à me faire sursauter trois fois, pourtant. Mais pas lui, lui il est à Morphée... Alors je le bouscule, il est en retard d'au moins deux heures sur son planning, puis je lui dis au revoir. Je ne le reverrai plus avant longtemps, lui aussi. Il me sourit, les yeux encore semi-clos, je lui prends la main en guise d'adieu. Juste après ça, il se rendort. Pfff...ça servait vraiment à quelque chose qu'il mette un réveil, lui...
Je récupère mes affaires, Beg m'interpelle pour me demander le numéro de Poubelle.
Tiens tiens...
-" Elle ne te l'a pas donné d’elle-même, hier ?"
-" Non, elle s'est volatilisée dans la nuit pendant que j'allais chercher des boissons!"
Quelle futée, celle là. Elle a préféré rejoindre sa maison. Quel choix plein de sagesse. Mais moi, je ne suis pas gentille. Si Beg désire le numéro de Poubelle, il l'aura. Parce que je sais que Poubelle ne fait que fuir ses démons sans les affronter. Il faudra qu'elle me raconte ce qu'il s'est passé, en mon absence. Même si je sais, depuis longtemps.

Et puis voilà, bye bye le groupe. Bye bye cette ambiance si particulière qui rend ce type de gens uniques. Ou tout simplement comme on voudrait qu'ils soient. Ou pas.
D'ailleurs, maintenant que j'en parle, ça n'a plus aucune importance.
Ce n’est pas la fin que vous aviez imaginée, n’est-ce pas ?

Ecrit par Dine, le Dimanche 25 Décembre 2005, 04:05 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

ninoutita
ninoutita
25-12-05 à 12:49

AAAH le bide !
Oh non !
Donc je me suis trompée du début jusqu'au milieu jusqu'à la fin du milieu jusqu'à la fin de la fin !
Que dire... bien sur que c'est décevant ! Moi je croyais à une fin digne des feux de l'amour en moins tragique, avec un gemey sous le bras ( à la bonne franquette mec ! ) et bein non ! Juste une conclusion pleine de philosophie.
En même temps je me dis si tu n'es pas vraiment tombé amoureuse ( quoique... GEMEY ? ) au moins tu n'es plus amoureuse de Maro !
C'est la fêêête !
Bon Ma Grande Dine, la prochaine fois tu nous fais un écrit avec de l'amour qui déborde partour hein !

Gros bisoux.

 
MangakaDine
MangakaDine
25-12-05 à 18:12

Re:

Je réponds juste avant que mon cousin ne m'embarque l'ordi!!! J'espère qu'il pourra me le rendre au plus tôt, et pas dans un état pire que je le lui ai filé...

Bref, merci d'avoir lu jusqu'au bout. Toutes les parties, et plus si affinité (mais qu'est ce que je raconte....)! Ouais la fin n'est pas une fin de films à l'eau de rose, c'est juste la réalité...et c'est déjà pas mal!

De l'amour qui déborde de de partout?
Rendez vous dans trois articles. ;)

Bisou et à bientôt j'espère....pourvu que mon ordi revienne sain et sauf!

 
ninoutita
ninoutita
26-12-05 à 20:43

Re: Re:

Et bien comme d'habitude, j'ai la hâte qui me grignote le ventre :)

reviiiiens :D

 
MangakaDine
MangakaDine
03-01-06 à 13:22

Re: Re: Re:

J'arrriiiiiiiiive!!!

 
Hullabaloo
Hullabaloo
30-12-05 à 15:26

C'est clair que c'est pas du tout la fin que j'm'imaginais !
Quel gachis quand meme ! lol

bon allez, bon reveillon pr ce soir :)

 
MangakaDine
MangakaDine
03-01-06 à 13:21

Re:

Mais non, aucun gachis! C'est la vie, c'est tout. Et puis, c'est pas si mal; hein.... Comme ça, du coup, on ne peut qu'espérer mieux ailleurs, ou plus tard, ou bien....prout.
En tout cas, ça fait plaisir de te revoir sur ces pages, Happy New Year Darling!

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