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4 ans de Joueb
--> Le tour de l'an en 20 moments (partie 2)
La suite de ceci.

Après les coups foireux en série, les rétractations du dernier moment, toutes ces choses que l’on m’a dites, les promesses, les résolutions ou juste l’impression de sans cesse voir le monde manquer de bon sens, j’étais vraiment blasée. Alors j’ai regardé ma vie, ce qui m’entourait dans le présent et ce qui était déjà derrière moi. J’ai fait un tour sur moi-même et j’ai établi dans un élan de dégoût envers le rébarbatif ce qui allait me suivre durant le reste de l’année 2008, la théorie de la deuxième place.

11.       http://mangakadine.joueb.com/news/le-monde-m-a-largue 

Titulaire de la deuxième place.
Je suis celle qu'on a envie de voir, mais qui arrive toujours à un moment ou y'a mieux à faire. Je suis celle à qui on avoue ses sentiments sur un coup de tête, pour se rétracter juste après. Je suis encore celle qui n'avait jamais fait cet effet là auparavant, mais bon, c'est pas comme si c'était suffisant pour compter. Je suis celle qui change une vie et qu'on oublie. Qu'on oublie. Tout ce que j'ai pu faire pour eux. Mais peut-être que dire merci c'était suffisant. Peut-être qu'ils ont cru ainsi se sentir totalement déresponsabilisés de cette vie parallèle à la leur qui est la mienne.
[…]
Alors j'ai envie de pleurer dans ces grands bâtiments où je n'ai pas ma place, dans ces grandes discussions où je ne me reconnais pas, dans cette illusion que tout va bien pour les autres. Le monde suit le cours de son existence. Mais moi, je n'arrive plus à les suivre, ni à les comprendre. Je n'arrive plus à concevoir les incohérences, les choses absurdes qui se déroulent autour de moi. Je ne parviens plus à saisir les priorités d'autrui, ni leur évolution, et ce qu'est l'idéal qu'ils se sont fixés. Le chemin qu'ils ont choisi d'emprunter. Je vois une si grande différence entre ce qu'ils me décrivent et le sol qu'ils sont en train de fouler. Alors peut-être qu'au bout du tunnel, l'image fictive s'en rapproche. Qui suis-je pour savoir. Mais qui sont-ils pour nier. Qui sont-ils pour se permettre de. D'écraser. Sélectionner. Penser à leur bonheur. Ne penser qu'à leur bonheur. Qui sont-ils pour croire qu'ils ont raison. Ne sont-ils pas....comme tout le monde? Comme moi? Alors je serais comme eux?
Et ce chemin, j'espère que tout au bout, il est aussi beau qu'ils peuvent l'affirmer.

Parce que j'en ai un peu ma claque de marcher en fermant les yeux.

Comme si c’était une espèce de malédiction due à mon karma. J’ai cru que ça me suivrait partout et éternellement alors forcément, ça m’a suivie.
Malgré tout, dans ce genre de situations désespérées j’ai toujours mon sauveur. Gemey. Le même depuis trois ans. Avec lui ce n’est pas extraordinaire, c’est juste bienveillant. Il a un sourire réconfortant et une manière de me regarder qui me fait oublier que j’en veux à tous ces autres. Il est une parenthèse. Elle referme quelques instants mon côté négatif et mes déceptions. Heureusement qu’il est là.

12.       http://mangakadine.joueb.com/news/accepte-mon-merci 

Tu as réussi à me laisser un goût plaisant à l’esprit. Je n’ai aucun regret, il n’y a rien de moche dans ton départ. Ton absence n’a pas laissé de trou, puisque tu n’as rien creusé, puisque tu as respecté mon cœur sans vouloir te l’approprier. Ton absence elle est comme toi. Elle est belle, elle est douce, elle préserve tous ces magnifiques souvenirs qui ne resteront pas seuls, qui seront bientôt rejoints par de nouveaux encore, dans longtemps ou pas, on s’en fout. Tu es là. Physiquement ou pas, tu l’es. Et tous tes mots, tes gestes tendres, tes sourires, tes soupirs, tes mains, ton odeur, tes affaires, tes regards, tes chansons, tous tes réveils magiques dont tu as le secret, tout ça, c’est en moi comme un cadeau. Tout ça pour moi. Non, vraiment, tu n’aurais pas dû. Je ne sais plus comment te le rendre alors accepte-le.

Accepte mon merci.

Mais en dehors de cette parenthèse, le reste me rattrape vite. Facilement. C’est comme si j’étais constamment au pied du mur. Ou au bord de la fenêtre, de l’autre côté du mur, à attendre quelque chose. Quelqu’un pour venir me sauver. Dans des moments comme ceux-là, on se dit, les autres auraient sûrement déjà sauté. Pourquoi moi aussi je ne sauterais pas ? Qu’est-ce qui m’empêche de faire comme les autres, comme ce que font les gens de mon âge ? Pourquoi est-ce que je me pose toutes ces questions, pourquoi j’attends encore au bord de cette fenêtre alors qu’ils ont déjà tous sauté ?

13.       http://mangakadine.joueb.com/news/c-etait-sense-n-arriver-qu-aux-autres

Si je m’étais posée des questions en cet instant précis, j’aurais sûrement demandé « pourquoi moi ? ». C’est vrai, il y en avait plein des filles jolies et compréhensives à cette soirée, il aurait pu aller voir n’importe qui. Les circonstances feront que parfois, il n’y a qu’un chemin je crois. Qu’il concorde souvent avec nos pensées profondes, si elles sont dans le juste ou pas. Moi, c’est juste qu’à cette soirée, je ne pensais à rien callée dans les rochers.

C’était un soir d’été, ce soir là où précisément j’avais décidé de faire comme les autres et de sauter sans me poser de question. Il avait le sida. Je ne le sus que le lendemain. Une fois qu’on ne peut plus revenir en arrière. J’ai compris à partir de ce moment, à coup de grosses claques intérieures, que je n’avais précisément pas le droit de faire comme les autres. Ne penser à rien, tout ça. J’avais une conscience, un cerveau, des valeurs fallait que je m’en serve. Néanmoins durant trois mois, j’ai un peu erré comme un zombie, un corps vide de sensation à travers la ville. J’étais déjà un peu dégoûtée par la race humaine, désormais on peut le dire, je me dégoûtais moi-même. J’avais du mal à arriver à quoi que ce soit.

14.       http://mangakadine.joueb.com/news/c-est-la-jeunesse

Je vois tous ces gens qui se détruisent sous mes yeux. Et je ne trouve pas cela agréable. Et je n'ai jamais demandé à voir cela. Je n'ai jamais demandé à observer petit à petit leur regard se fermer, leur esprit se perdre dans la non reflexion, et lorsque la reflexion s'est perdue, en perdre aussi la capacité de penser, à errer dans la rue jusqu'à ne plus savoir marcher, ne plus savoir rien.
Ne plus être.
Je me rends alors compte que c'est un phénomène courant, répandu, universel. Plus encore que les téléphones portables ou le football. Ca voyage à travers les pays et les continents et pour expliquer cet état de faits on dit : c'est la jeunesse. C'est la jeunesse!

Et la sincérité c'est quoi?
La sincérité c'est où? 
Mais ça existe, hein, ça existe?
C'est à partir de quel âge que je peux espérer trouver quelque chose de vrai en les gens?

C’est la jeunesse. J’avais écrit cet article à Bologne, dans l’appartement bohème de Manuel l’italien. Celui que j’avais rencontré à la même époque, l’année d’avant. Une espèce de coup de foudre sous tous les plans. Sous la pluie, surtout. Il me rappelle l’Italie, il était comme dans mes rêves d’enfant, d’idylle. J’ai tout fait pour le retrouver, je m’accrochais à ce souvenir d’il y avait un an et chose aberrante, lui aussi. On s’est revus, c’était presque pareil. La seule chose est qu’il était en face d’une coquille vide. J’avais beau me forcer, je ne pouvais pas me sortir de la tête cette répugnance récente envers le corps physique et tout ce qu’il pouvait engendrer. Et l’amour.

15.       http://mangakadine.joueb.com/news/ce-qu-il-n-y-a-pas 

Si j'étais sure de quoi que ce soit, je lui courrais après, je partirais avec lui, peu importe la distance. 
Mais je n'arrive pas à penser.

Il y a juste son visage contre ma peau que je découvre jours après jours, et ces yeux qui petit à petit me font vibrer plus fort. Il y a ces mots chuchotés à l'oreille qui me prennent par le bras et m'emmèneraient bien danser une nouvelle fois un rythme irrégulier. Il y a sa musique tout contre la mienne et le silence qui ne parvient à traduire les mots dans nos langues respectives. Il y a tout ça et il y a le reste.

Ce qu'il n'y a pas.

Je m’en veux pour Manuel. Comme si au fond, je l’avais raté. C’était un cruel manque de timing. J’étais incapable de construire quelque chose, il fallait d’abord que je me reconstruise. J’avais tout l’été pour le faire. Je suis passée par tous les stades avant de trouver mon canalisateur. La musique. Nero. Celui qui allait accompagner mes compositions et les rendre réelles. Je venais de finir ma licence, totalement lâchée dans la nature avec mon projet sous le bras, s’il n’avait pas été là….s’il n’avait pas été là….

16.       http://mangakadine.joueb.com/news/nero

Ce soir, en me baladant dans la nuit avec nos dernières chansons dans le mp3, je me disais que j’avais de la chance que ce soit lui. Et qu’en même temps, je n’aurais pas forcément accepté de travailler de la sorte avec quelqu’un d’autre. Parce que c’est Nero. Parce qu’il comprend ce que je veux, parce qu’il mène mes utopies plus loin. Jusqu’à leur réalisation. Je suis dans un rêve qui prend forme. C’est dingue. J’ai pas envie d’en sortir. Je suis trop bien, bercée par toutes ces mélodies que j’ai osé imaginer, et les siennes qu’il invente sur le fil, parce que c’est facile pour lui de me faire rêver d’autant plus fort. J’écoute son coup d’archet et je souris parce que ça me rappelle qu’il me donne un million de choses sans rien attendre d’autre de moi que le partage. Ses petites erreurs et précipitations, cette façon de toujours vouloir trop en faire, ça me rappelle ses blagues pourries et leur chute merdique. Son excessivité masquée par l’intelligence et l’adaptation à tout propos. Nos phrases filent sur une autoroute et parcourent des distances incroyables en seulement quelques secondes. En seulement quelques secondes, il me permet de concrétiser toute une vie d’espoir et de musique.

Si Nero m’a permis de faire la paix avec le présent et l’avenir, celui qui m’a réconciliée avec le corps et les sentiments…

17.       http://mangakadine.joueb.com/news/j-irai-trouver-des-pretextes

J’ai toujours rêvé de faire l’amour à un danseur. Deux corps qui se meuvent en osmose. C’est tellement beau. C’est esthétique. Je ne peux pas oublier cette sensation. Son sourire, ses traits manouches, son air artiste. Je l’aime désespérément, parce que je sais que rien ne s’enclenche bien, que rien n’est fait pour qu’il y ait de deuxième fois.
[…]

Rom. C’était lui.

M’en fous. Si la semaine passe et pas l’émotion, j’irai trouver des prétextes.
J’irai trouver un festival, un pote à visiter, une obligation, et je reviendrai. Même si c’est pour me prendre un vent. J’ai pas assez profité de nos plaisanteries enfantines. J’ai pas assez saisi le bonheur d’être dans ses bras. Je veux le revoir ne serait-ce qu’une fois. Il était trop bien. Il m’a émue comme rarement. Avec ses manies, ses textes, ses façons d’être. Si doux, si touchant avec ses seconds degrés. Je rêve d’un homme comme ça. Pourtant je l’ai pas rêvé alors. J’irai jusqu’à lui. Je ne me priverai pas de ce que je veux, si je le veux réellement et pour les bonnes raisons. Quels que soient l’inconnu et les kilomètres qui nous séparent.

Rom, je viendrai te chercher.

C’était lors d’un de mes voyages. Je ne m’attendais pas du tout à ça. J’étais totalement instable à cette période, encore. Mais Rom m’a instantanément calmée. J’ai senti que c’était différent. L’échange, le partage, les sensations, l’envie. La personne. Mais ce n’était que pour une fois. Il était loin à tous les niveaux. Néanmoins j’y ai pensé. Puis repensé. De nouveau. Ca ne voulait pas sortir de ma peau. Je ne comprenais pas réellement pourquoi lui plus qu’un autre, mais il était certain qu’il n’avait pas laissé la même trace. J’avais pris le train le lendemain et on s’était quittés comme deux anonymes. Point, fin de l’histoire.
Je n’acceptais pas cela. Mais je ne pouvais me rebeller contre rien.

"Mademoiselle,
Trouver votre adresse mail ? Une bataille folle."

Voilà comment un mois plus tard a germé une lueur d’espoir démente. Rom avait récupéré mon adresse mail par l’intermédiaire d’une connaissance commune et m’écrivait des lettres. Auxquelles sans exception, je répondais.

18.       http://mangakadine.joueb.com/news/l-important-c-est

Oui, je suis accrochée.
Même moi, je le sens. Et puis j’ai qu’à me lire. A être heureuse pour une simple série de phrases sur un écran d’ordinateur. Et pas un corps, ou un regard qui en dit long. Parce que je ne peux rien lui demander. Parce que je n’ai pas vraiment le droit d’espérer quoi que ce soit. Je sais très bien que c’est me retourner le couteau dans la plaie alors, si j’assume le fait qu’il me plaise malgré tout et que j’aie envie de continuer à y croire, je n’ai pas de raisons de me plaindre. Même s’il ne voit pas les choses dans le même sens que moi.
C’est mon choix, pas le sien ni celui des autres.

J’aimais cette relation simple, ce truc qu’il pouvait avoir avec les mots. C’était naïf, un peu. Je mourrais d’envie de le revoir. J’avais besoin de ma deuxième impression. Entre temps, le manque de timing a rendu une nouvelle fois les choses bien plus compliquées qu’elles ne l’étaient en réalité. J’y suis retournée deux mois après et on a de nouveau partagé et échangé énormément, mais pas comme à cette première rencontre. Il s’était trouvé quelqu’un.

19.       http://mangakadine.joueb.com/news/si-tu-l-as-pas-compris

J’ai vu que j’avais avancé dans la recherche. Toi ce que t’as de plus parmi ceux qui m’ont attirée, outre la sincérité et l’honnêteté qui parfois s’en va comme une absence chez certains, c’est l’amour que tu portes aux gens. A l’humanité. Même si t’y arrives pas toujours, je le consens. Je te respecte tellement. A chaque fois un peu plus. A chaque démarche. Tes décisions elles sont. Importantes ? C’est beau, quelqu’un de sérieux malgré tout. Je l’ai compris, ne t’inquiète pas. Tu n’as pas eu besoin de me le dire avec des mots.

Seulement, j’aurais aimé que ce soit moi cette fois.

J’me suis pris une espèce de vent magistral mais je n’ai pas lâché prise. Ce Rom, il est pas comme les autres. Il marque le tournant de quelque chose en moi. Dans mes choix. Dans mes remises en question, entre ce que je veux et ce dont j’ai réellement besoin. Petit à petit c’est en train de s’accorder. Tout n’est pas perdu les amis.
Pour finir cette longue exploration Jouebienne de mon année 2008, un petit texte qui résume et conclut de mon point de vue plutôt bien l’affaire. Ca parle de souvenirs et de nostalgie, comme quoi c’est un truc assez récurent chez moi. Alors oui, ça fait mal de regarder en arrière. Ca fait mal parce qu’on se rend compte à quel point on tient à tout ça. A tout, le bon comme le mauvais. Ca donne en quelque sorte du caractère, de la saveur au présent mais surtout, tout son sens. J’ai envie de regarder tout droit et d’aimer ce que j’y vois, de la même manière.

20.   http://mangakadine.joueb.com/news/ma-rue-vous-est-ouverte

Sur la moto, les images furtives qui défilent, ça fait comme un électrochoc qui s’amplifie avec la vitesse et le vent sur les joues. Ca fait comme il y a deux ans en marchant dans cette rue. Il y avait toujours l’eau qui s’écoulait à un moment ou à un autre et puis le Corbusier, au loin. Il y avait ce huitième étage et cette vue splendide sur la ville et la mer. Les petits déjeuners au fromage. La basse qui résonne. Tellement de souvenirs qui se sont enfuis sans moi.
[…]

On ne se rend pas compte quand on vit dans le présent, à quel point ces instants pourront être gravés dans une mémoire future. Tous ces échanges, ces promesses, ces soirées et cuisses de poulet partagées à deux. Les déboires aussi. Les empreintes sur chaque mur. Tout ça, là, comme ça fera mal un jour, d’oser les regarder.
Ces parcelles de temps, cette rue, ces bars, ces recoins chaleureux, ces voix qui s’élèvent plus haut et tous ces gens qui dansent, les concerts de mes idoles de proximité, Maro, Gemey, Poubelle, Ray et cetera, la jeunesse qui file comme la nuit et les déclarations, Blond, ses pieds dans l’escalier, As pour la première fois. Toujours le même endroit. Encore cette même rue. Tellement loin de chez moi mais tellement plus vécue. Comme ça, à fleur de peau, à s’en faire saigner passionnément et voir le sang couler. A voir le sens couler, on aurait envie de rire et crier « Tant Pis », « Tant mieux », « Tant pis et mieux pour vous », vous êtes tous entrés là, tous entrés dans ma vie, tous entrés dans cette rue…et pourvu qu’on y reste !

Et pourvu qu’on y reste…

Merci d’avoir lu.


Ecrit par Dine, le Vendredi 16 Janvier 2009, 02:33 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

missdiamond
missdiamond
17-01-09 à 00:15

Belle rétrospective :)

 
Eliath-Feu
18-01-09 à 00:52

Euh, Dine, il n'y a qu'une chose, là, soudain, que je retiens de tout ça... C'est ces quelques phrases qui me frappent en plein visage :
"
C’était un soir d’été, ce soir là où précisément j’avais décidé de faire comme les autres et de sauter sans me poser de question. Il avait le sida. Je ne le sus que le lendemain. Une fois qu’on ne peut plus revenir en arrière."
Qu'est-ce que... Qu'est-ce qu'on doit en déduire? Je veux dire, euh, toi, dans tout ça? ... toi aussi, maintenant? (je me sens affreusement maladroite, pardon, pardon)


 
MangakaDine
MangakaDine
18-01-09 à 00:58

Re:

Oh, je me rends compte que j'ai oublié de préciser la fin de cette histoire. Rassure toi, j'ai plus tard fait les tests et je n'ai rien. Mais les trois mois d'attente qui précèdent, c'est ça qui inconsciemment m'a rendue un peu folle dans ma tête.

:)

Bon j'ai pas répondu aux autres commentaires mais je m'y mets ce soir promis!

Edit : demain! promis x promis! Promis au carré!

 
missdiamond
missdiamond
18-01-09 à 03:38

Re:

Salut

Je viens pour la toute première fois prendre le temps de regarder ton site maïspeyce. Je savais que tu faisais de la musique et tout, j'avais déjà écouté quelques petits bouts, mais sans plus. Je trouve cela très bien ce que tu fais.....vraiment....ta voix est douce et réconfortante...


 
MangakaDine
MangakaDine
21-01-09 à 00:58

Re:

Merci pour ce temps accordé à ma musique, et puis pour la voix douce et réconfortante. Ca me fait toujours plaisir quand quelqu'un me dit qu'il a pris le temps d'écouter. C'est important pour moi.

Bisous bisous!